Les syndicats se sont réunis ce jeudi matin devant la mairie de Saint-Benoît pour se faire entendre. Selon eux, le Groupe Hospitalier Est Réunion “navigue en eaux troubles”. Dressant un bilan acerbe des 7 dernières années, ils déplorent :
- La souffrance au travail, due au manque d’effectif
- Les chevauchements d’horaires, les 12 heures pour couvrir les plages d’activité, au lieu d’embauches qui garantissent une meilleure qualité de vie au travail
- Le démantèlement des services de soins du GHER, fusions et suppressions de lits
- Un service entier transformé en bureaux
- La fuite des praticiens et patients vers le CHU-Cliniques
- La souffrance au travail, due au manque d’effectif
- Les chevauchements d’horaires, les 12 heures pour couvrir les plages d’activité, au lieu d’embauches qui garantissent une meilleure qualité de vie au travail
- Le démantèlement des services de soins du GHER, fusions et suppressions de lits
- Un service entier transformé en bureaux
- La fuite des praticiens et patients vers le CHU-Cliniques
L'hôpital "qui sombre dans le brouillard"
“Le vote de conciliation sur la deuxième signature d’une direction commune pose autant de problèmes que celle de 2014”, avancent les syndicats qui auraient préféré “une fusion avec le CHU pour relever les défis du GHER qui sombre dans le brouillard.”
Cette deuxième signature de la direction commune est plus favorable au CHU et engendre notamment un manque de personnel et une mort programmée du service de chirurgie, voire d’autres services au GHER, préviennent-ils.
Le CFDT et l’UNSA ont tenu à interpeller Patrice Selly sur cette problématique et demandent des moyens financiers pour un solide plan de redressement de hôpital de proximité de l’Est.
“Le vote de conciliation sur la deuxième signature d’une direction commune pose autant de problèmes que celle de 2014”, avancent les syndicats qui auraient préféré “une fusion avec le CHU pour relever les défis du GHER qui sombre dans le brouillard.”
Cette deuxième signature de la direction commune est plus favorable au CHU et engendre notamment un manque de personnel et une mort programmée du service de chirurgie, voire d’autres services au GHER, préviennent-ils.
Le CFDT et l’UNSA ont tenu à interpeller Patrice Selly sur cette problématique et demandent des moyens financiers pour un solide plan de redressement de hôpital de proximité de l’Est.