L’espoir fait vivre. Mais il y avait quand même peu de chances que la justice laisse cet homme courir les rues. Le détenu qui a demandé ce mardi à sortir de prison, en attendant son procès en août prochain, reste en prison.
Avec 14 condamnations sur son casier judiciaire, dont la moitié pour violences, le quinquagénaire a passé plusieurs années de sa vie derrière les barreaux. Agression sexuelle sur mineure, exhibition, violences avec arme, violences sur ascendant, usurpation, délit de fuite et délits routiers… La liste est longue.
La dernière en date : une condamnation en comparution immédiate à 3 ans de prison et mandat de dépôt le 10 mai dernier pour des menaces de mort proférées à l’encontre de son ex-compagne. "Je vais te couper la tête comme la femme assassinée sur le parking de Jumbo", aurait-il menacé. Des faits commis alors qu’il est en sursis suite à un emprisonnement pour violences aggravées et harcèlement sur cette même femme. Sorti de prison en mai 2020, le voilà, un an plus tard, qui promet de la tuer.
Ayant fait appel du jugement du tribunal correctionnel de Saint-Denis, rendu en mai, le condamnant à 3 ans de prison ferme, il a le droit de demander sa mise en liberté en attendant son procès devant la cour d’appel, prévu en août.
Les raisons de son souhait : son loyer impayé, un fils qui aurait été abandonné par sa mère et dont il voudrait la charge, et sa nouvelle compagne enceinte de lui.
Des raisons bien insuffisantes pour les magistrats devant ce personnage présentant un tel risque.
Avec 14 condamnations sur son casier judiciaire, dont la moitié pour violences, le quinquagénaire a passé plusieurs années de sa vie derrière les barreaux. Agression sexuelle sur mineure, exhibition, violences avec arme, violences sur ascendant, usurpation, délit de fuite et délits routiers… La liste est longue.
La dernière en date : une condamnation en comparution immédiate à 3 ans de prison et mandat de dépôt le 10 mai dernier pour des menaces de mort proférées à l’encontre de son ex-compagne. "Je vais te couper la tête comme la femme assassinée sur le parking de Jumbo", aurait-il menacé. Des faits commis alors qu’il est en sursis suite à un emprisonnement pour violences aggravées et harcèlement sur cette même femme. Sorti de prison en mai 2020, le voilà, un an plus tard, qui promet de la tuer.
Ayant fait appel du jugement du tribunal correctionnel de Saint-Denis, rendu en mai, le condamnant à 3 ans de prison ferme, il a le droit de demander sa mise en liberté en attendant son procès devant la cour d’appel, prévu en août.
Les raisons de son souhait : son loyer impayé, un fils qui aurait été abandonné par sa mère et dont il voudrait la charge, et sa nouvelle compagne enceinte de lui.
Des raisons bien insuffisantes pour les magistrats devant ce personnage présentant un tel risque.