Raphaël Grondin n’a pas froid aux yeux. Il est le doyen de la reine des courses. Le Réunionnais de 73 ans participe cette année à sa première Diagonale des fous.
"Je voulais faire le Grand raid car j’ai déjà fait la Mascareignes, le Trail de Bourbon et d’autres trails", annonce-t-il naturellement, comme si les 50 km de plus qu’il y a entre le Trail de Bourbon et la Diagonale n’étaient qu’une formalité.
Le plus simplement du monde, il avance confiant : "après toutes ces courses, eh bien aujourd’hui je me suis dit : je vais faire le Grand raid. D’après l’entrainement que j’ai fait, je pense que j’irai au bout", programme-t-il. Plutôt logique quand, comme lui, on a été régulier sur longue distance ces derniers mois.
"J’espère arriver dimanche entre 1H et 5H du matin"
"J’ai fait quatre trails de 65 km : la course Arc-en-ciel, le Trail minuit, les Trois cirques et la Transvolcanique", égrène-t-il son tableau de chasse. Il faut pourtant remonter à plus loin pour trouver la trace de sa détermination : "Ça fait déjà au moins quatre - cinq ans d’entraînement entre les courses", dit-il. "Je ne fais que des trails aujourd’hui." Un régime sportif qui ne date pas d’hier : "J’ai commencé la compétition à 46 ans. Ce qui me plaît c’est la montagne, les copains, on discute c’est ça l’ambiance du trail !"
Cette légèreté s’accompagne néanmoins d’un objectif calculé : "Mi sent a moin bien, ma prendre le départ du Grand raid comme n’importe quel autre trail. Je vais faire un départ lent et espérer arriver jusqu’au bout. J’espère arriver dimanche entre 1H et 5H du matin", cadre-t-il son immense défi.
Chez les femmes, c'est Odile Monteils, 74 ans et venant de métropole, qui est la doyenne des coureuses.
"Je voulais faire le Grand raid car j’ai déjà fait la Mascareignes, le Trail de Bourbon et d’autres trails", annonce-t-il naturellement, comme si les 50 km de plus qu’il y a entre le Trail de Bourbon et la Diagonale n’étaient qu’une formalité.
Le plus simplement du monde, il avance confiant : "après toutes ces courses, eh bien aujourd’hui je me suis dit : je vais faire le Grand raid. D’après l’entrainement que j’ai fait, je pense que j’irai au bout", programme-t-il. Plutôt logique quand, comme lui, on a été régulier sur longue distance ces derniers mois.
"J’espère arriver dimanche entre 1H et 5H du matin"
"J’ai fait quatre trails de 65 km : la course Arc-en-ciel, le Trail minuit, les Trois cirques et la Transvolcanique", égrène-t-il son tableau de chasse. Il faut pourtant remonter à plus loin pour trouver la trace de sa détermination : "Ça fait déjà au moins quatre - cinq ans d’entraînement entre les courses", dit-il. "Je ne fais que des trails aujourd’hui." Un régime sportif qui ne date pas d’hier : "J’ai commencé la compétition à 46 ans. Ce qui me plaît c’est la montagne, les copains, on discute c’est ça l’ambiance du trail !"
Cette légèreté s’accompagne néanmoins d’un objectif calculé : "Mi sent a moin bien, ma prendre le départ du Grand raid comme n’importe quel autre trail. Je vais faire un départ lent et espérer arriver jusqu’au bout. J’espère arriver dimanche entre 1H et 5H du matin", cadre-t-il son immense défi.
Chez les femmes, c'est Odile Monteils, 74 ans et venant de métropole, qui est la doyenne des coureuses.