Ce vendredi matin se joue à l’Agence régionale de santé une réunion très importante pour le statut de la fonction publique.
Si les agents de la fonction publique hospitalière sont effectivement ceux qui pourraient être touchés en premier lieu par la suppression de l’indexation, c’est bien tous les fonctionnaires qui sont attentifs à ce qui va être décidé ce vendredi.
Depuis le refus, fin avril, du comptable public en charge de faire la paye des hospitaliers de l’hôpital Gabriel Martin à Saint-Paul, c’est l’inquiétude qui règne au sein des autres corps de métiers de la fonction publique, également concernés par l’indexation vie chère sur certaines primes.
Concernant les hospitaliers, l’indexation sur sept de leurs primes pourraient sauter. La réunion interministérielle promise la semaine dernière s’est finalement tenue mardi dernier à Paris. Mais pas même les représentants syndicaux n’ont su qu’elle s’était déroulée, encore moins ont-ils pu obtenir des informations sur le contenu de cette réunion entre les ministres de tutelle.
L’intersyndicale de la fonction publique hospitalière a, depuis l’annonce de la menace de suppression de la sur-rémunération sur leurs primes, entrepris de bloquer les routes à Saint-Denis. Des blocages qui se sont même déportés sur le boulevard sud. Même les transporteurs, au plus fort des conflits de ces dernières années sur le carburant, n’avaient pas osé le faire. Mardi 15 mai, c’est tout Saint-Denis qui était paralysé.
Depuis 9H, à l’appel de l’intersyndicale, les personnels du CHU sud et nord, du GHER, de l’EPSMR, et de Gabriel Martin, patientent sous les fenêtres de l’Agence régionale de santé où les représentants syndicaux sont reçus par le directeur François Maury.
Si les agents de la fonction publique hospitalière sont effectivement ceux qui pourraient être touchés en premier lieu par la suppression de l’indexation, c’est bien tous les fonctionnaires qui sont attentifs à ce qui va être décidé ce vendredi.
Depuis le refus, fin avril, du comptable public en charge de faire la paye des hospitaliers de l’hôpital Gabriel Martin à Saint-Paul, c’est l’inquiétude qui règne au sein des autres corps de métiers de la fonction publique, également concernés par l’indexation vie chère sur certaines primes.
Concernant les hospitaliers, l’indexation sur sept de leurs primes pourraient sauter. La réunion interministérielle promise la semaine dernière s’est finalement tenue mardi dernier à Paris. Mais pas même les représentants syndicaux n’ont su qu’elle s’était déroulée, encore moins ont-ils pu obtenir des informations sur le contenu de cette réunion entre les ministres de tutelle.
L’intersyndicale de la fonction publique hospitalière a, depuis l’annonce de la menace de suppression de la sur-rémunération sur leurs primes, entrepris de bloquer les routes à Saint-Denis. Des blocages qui se sont même déportés sur le boulevard sud. Même les transporteurs, au plus fort des conflits de ces dernières années sur le carburant, n’avaient pas osé le faire. Mardi 15 mai, c’est tout Saint-Denis qui était paralysé.
Depuis 9H, à l’appel de l’intersyndicale, les personnels du CHU sud et nord, du GHER, de l’EPSMR, et de Gabriel Martin, patientent sous les fenêtres de l’Agence régionale de santé où les représentants syndicaux sont reçus par le directeur François Maury.