Les États-Unis appellent l’Ukraine à ouvrir les négociations de paix avec la Russie. Le chef d’état-major américain, le général Mark Milley, a souligné mercredi que le soutien des États-Unis n’avait pas diminué, mais a déclaré que Kiev était en bonne position pour entamer des discussions, ses soldats parvenant à tenir tête à la Russie. "Il peut y avoir une solution politique où, politiquement, les Russes se retirent, c’est possible", a ajouté M. Milley.
La Maison Blanche a réitéré vendredi que seul le président ukrainien Volodymyr Zelensky était en mesure d’approuver l’ouverture de négociations entre l’Ukraine et la Russie, rejetant toute notion de pressions américaines sur Kiev.
"Nous avons également dit qu’il revenait au président Zelensky de dire si, et quand, il serait prêt à des négociations et la forme que prendraient ces négociations", a déclaré à la presse le porte-parole du Conseil de sécurité nationale, John Kirby.
"Personne aux États-Unis n’est en train de l’encourager, d’insister ou de le pousser à la table" des négociations, a-t-il dit.
Mais, plus tôt ce mois-ci, Volodymyr Zelensky avait fait savoir qu’il n’exigeait plus le départ de Vladimir Poutine pour entamer des négociations, un changement de cap qui est intervenu après des pressions de la Maison-Blanche.
D’ailleurs, le soutien américain reste fort. Cette semaine, la Maison-Blanche a demandé au Congrès de débloquer 38 milliards de dollars supplémentaires en soutien à Kiev.
Charles Kupchan, professeur à l’université de Georgetown, a déclaré pour sa part : "Je ne pense pas que cela soit prématuré. Je pense que c’est prudent. Les Russes et les Ukrainiens doivent conserver la possibilité qu’il existe une voie diplomatique".
La Maison Blanche a réitéré vendredi que seul le président ukrainien Volodymyr Zelensky était en mesure d’approuver l’ouverture de négociations entre l’Ukraine et la Russie, rejetant toute notion de pressions américaines sur Kiev.
"Nous avons également dit qu’il revenait au président Zelensky de dire si, et quand, il serait prêt à des négociations et la forme que prendraient ces négociations", a déclaré à la presse le porte-parole du Conseil de sécurité nationale, John Kirby.
"Personne aux États-Unis n’est en train de l’encourager, d’insister ou de le pousser à la table" des négociations, a-t-il dit.
Mais, plus tôt ce mois-ci, Volodymyr Zelensky avait fait savoir qu’il n’exigeait plus le départ de Vladimir Poutine pour entamer des négociations, un changement de cap qui est intervenu après des pressions de la Maison-Blanche.
D’ailleurs, le soutien américain reste fort. Cette semaine, la Maison-Blanche a demandé au Congrès de débloquer 38 milliards de dollars supplémentaires en soutien à Kiev.
Charles Kupchan, professeur à l’université de Georgetown, a déclaré pour sa part : "Je ne pense pas que cela soit prématuré. Je pense que c’est prudent. Les Russes et les Ukrainiens doivent conserver la possibilité qu’il existe une voie diplomatique".