L’histoire d’Edouard-Jacques comporte de nombreuses zones d’ombre. L’homme de 32 ans, installé à Bordeaux, est à la recherche de son père d’origine réunionnaise.
Sa mère, décédée d’une overdose alors qu’il n’avait que 7 ans, n’a laissé que peu d'indices sur l’identité de cet homme qu’elle n’a connu que le temps d’une aventure.
Dans les années 80-90, Françoise Castay, âgée d’une trentaine d’années, rencontre un Réunionnais, William, dans un foyer près de Bordeaux où ils sont placés tous les deux. L’homme, un Créole blanc, est bien plus jeune qu’elle, et c’est le début d’une brève histoire.
La mère de Françoise l’a rencontré une fois dans ce foyer. Elle décrit un jeune homme plutôt réservé, à qui elle a apporté de la viande rouge.
Déjà mère d’une petite fille, Françoise tombe enceinte peu après et décide de l’élever seule. Le père serait le Réunionnais qui, d’après la mère de Françoise, serait rentré sur l’île en ne sachant sans doute rien de la grossesse de sa fille.
Sa mère, décédée d’une overdose alors qu’il n’avait que 7 ans, n’a laissé que peu d'indices sur l’identité de cet homme qu’elle n’a connu que le temps d’une aventure.
Dans les années 80-90, Françoise Castay, âgée d’une trentaine d’années, rencontre un Réunionnais, William, dans un foyer près de Bordeaux où ils sont placés tous les deux. L’homme, un Créole blanc, est bien plus jeune qu’elle, et c’est le début d’une brève histoire.
La mère de Françoise l’a rencontré une fois dans ce foyer. Elle décrit un jeune homme plutôt réservé, à qui elle a apporté de la viande rouge.
Déjà mère d’une petite fille, Françoise tombe enceinte peu après et décide de l’élever seule. Le père serait le Réunionnais qui, d’après la mère de Françoise, serait rentré sur l’île en ne sachant sans doute rien de la grossesse de sa fille.
Né de cette relation en octobre 1990, Edouard-Jacques n'obtiendra pas vraiment d’informations sur son père.
Plus de 30 ans plus tard, père à son tour de trois enfants, il se met à la recherche de cet homme, aidé par sa tante. “J’ai toujours eu un manque du côté paternel. J’ai besoin de connaître mes origines. Je ne sais pas si je lui ressemble”, confie-t-il. Les tests ADN qu’il a effectués lui confirment la piste d’un père d’origine réunionnaise qu’il tente de retrouver tout en ne voulant pas le brusquer.
"On sait qu'il a peut-être refait sa vie, qu'il n'est sûrement pas au courant de l'existence de son fils, et qu'il peut ne pas souhaiter en savoir plus", conçoit Nathalie, la tante d'Edouard-Jacques.
Une tâche dont Edouard-Jacques mesure l’ampleur. “C’est très difficile de retrouver quelqu’un qui ne sait rien de vous”, admet-il, tout en gardant espoir d’un jour pouvoir le rencontrer et en apprendre plus sur ses origines réunionnaises.
Plus de 30 ans plus tard, père à son tour de trois enfants, il se met à la recherche de cet homme, aidé par sa tante. “J’ai toujours eu un manque du côté paternel. J’ai besoin de connaître mes origines. Je ne sais pas si je lui ressemble”, confie-t-il. Les tests ADN qu’il a effectués lui confirment la piste d’un père d’origine réunionnaise qu’il tente de retrouver tout en ne voulant pas le brusquer.
"On sait qu'il a peut-être refait sa vie, qu'il n'est sûrement pas au courant de l'existence de son fils, et qu'il peut ne pas souhaiter en savoir plus", conçoit Nathalie, la tante d'Edouard-Jacques.
Une tâche dont Edouard-Jacques mesure l’ampleur. “C’est très difficile de retrouver quelqu’un qui ne sait rien de vous”, admet-il, tout en gardant espoir d’un jour pouvoir le rencontrer et en apprendre plus sur ses origines réunionnaises.