La police nationale avait dévoilé l’affaire le 15 juin dernier et annoncé la mise en examen de trois personnes pour escroquerie au financement d’un véhicule de luxe. En effet, ils sont soupçonnés d’avoir obtenu des prêts ou financements de véhicules tels que des Lexus, Range Rover, Audi et autres en utilisant de fausses identités.
Cette série d’escroqueries en bande organisée s’est résumée à 14 demandes de financement auprès de plusieurs banques et un préjudice s’élevant à 1 111 522 euros. Beaucoup de véhicule étaient ensuite envoyés en métropole pour rejoindre le réseau principal.
S.G, 52 ans, reconnaît les faits mais assure n’être qu’un "suiveur". Au chômage, avec une famille à soutenir, il aura choisi ce moyen-là. Depuis le 12 juin, il se trouve en détention provisoire et demandait aujourd’hui, en Chambre d’instruction, à pouvoir être placé sous contrôle judiciaire.
Mais l’avocat général a rappelé que les investigations se poursuivent en métropole, qu’il y a donc un risque de pression sur les témoins de la part de S.G, que son rôle dans le réseau n’est pas encore connu et qu’au vu de son casier comprenant plusieurs condamnations dont abus de confiance et recel, il y a un risque de réitération. Il a donc demandé son maintien en détention provisoire. La justice en a décidé de même.
Cette série d’escroqueries en bande organisée s’est résumée à 14 demandes de financement auprès de plusieurs banques et un préjudice s’élevant à 1 111 522 euros. Beaucoup de véhicule étaient ensuite envoyés en métropole pour rejoindre le réseau principal.
S.G, 52 ans, reconnaît les faits mais assure n’être qu’un "suiveur". Au chômage, avec une famille à soutenir, il aura choisi ce moyen-là. Depuis le 12 juin, il se trouve en détention provisoire et demandait aujourd’hui, en Chambre d’instruction, à pouvoir être placé sous contrôle judiciaire.
Mais l’avocat général a rappelé que les investigations se poursuivent en métropole, qu’il y a donc un risque de pression sur les témoins de la part de S.G, que son rôle dans le réseau n’est pas encore connu et qu’au vu de son casier comprenant plusieurs condamnations dont abus de confiance et recel, il y a un risque de réitération. Il a donc demandé son maintien en détention provisoire. La justice en a décidé de même.