Valérie Pécresse, candidate LR à l’élection présidentielle, avait ressorti une expression utilisée par Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur, en 2005. La semaine dernière, la présidente de la région Île-de-France promettait de "ressortir le Kärcher de la cave" pour "traquer les caïds".
En déplacement à Nice dans l’ hôpital Saint Roch, site d'un futur "hôtel des polices" rassemblant police nationale et municipale, le quasi candidat à sa réélection a défendu son bilan sur la sécurité. Emmanuel Macron a aussi présenté la "Lopml" ("loi d'orientation et de programmation du ministère de l'Intérieur"), en promettant une hausse de 15 milliards du budget sur les 5 années à venir pour la sécurité, soit une hausse de 25 % par rapport au budget actuel. Le texte qui sera présenté en Conseil des ministres en mars n’entrera pas en vigueur avant l’élection présidentielle.
Le "droit à la vie tranquille"
L’augmentation du budget devrait, d’après Emmanuel Macron, doubler le nombre de policiers sur le terrain pour 2030. Ils devraient également être mieux formés et mieux équipés. Les amendes forfaitaires pour les délits sanctionnés des peines de moins d’un an devraient aussi être généralisées. "Un élément de simplification", selon lui, pour permettre aux "magistrats de se concentrer sur les affaires plus importantes".
Le président a également défendu son bilan sur la sécurité, attaqué par la droite qui dénonce le "Waterloo sécuritaire" du quinquennat Macron. Le chef d’État a fait savoir qu’il avait suivi l’engagement pris en réinvestissant dans la sécurité. "Il y a un droit à la vie tranquille et qu'on ne cède rien devant quelques incivilités que ce soit ; encore faut-il y mettre les moyens", a-t-il avancé, précisant avoir créé 10.000 postes et renouveler le parc automobile dès 2017.
En déplacement à Nice dans l’ hôpital Saint Roch, site d'un futur "hôtel des polices" rassemblant police nationale et municipale, le quasi candidat à sa réélection a défendu son bilan sur la sécurité. Emmanuel Macron a aussi présenté la "Lopml" ("loi d'orientation et de programmation du ministère de l'Intérieur"), en promettant une hausse de 15 milliards du budget sur les 5 années à venir pour la sécurité, soit une hausse de 25 % par rapport au budget actuel. Le texte qui sera présenté en Conseil des ministres en mars n’entrera pas en vigueur avant l’élection présidentielle.
Le "droit à la vie tranquille"
L’augmentation du budget devrait, d’après Emmanuel Macron, doubler le nombre de policiers sur le terrain pour 2030. Ils devraient également être mieux formés et mieux équipés. Les amendes forfaitaires pour les délits sanctionnés des peines de moins d’un an devraient aussi être généralisées. "Un élément de simplification", selon lui, pour permettre aux "magistrats de se concentrer sur les affaires plus importantes".
Le président a également défendu son bilan sur la sécurité, attaqué par la droite qui dénonce le "Waterloo sécuritaire" du quinquennat Macron. Le chef d’État a fait savoir qu’il avait suivi l’engagement pris en réinvestissant dans la sécurité. "Il y a un droit à la vie tranquille et qu'on ne cède rien devant quelques incivilités que ce soit ; encore faut-il y mettre les moyens", a-t-il avancé, précisant avoir créé 10.000 postes et renouveler le parc automobile dès 2017.