"Les écoles n'ouvriront pas partout le 11 mai et ne fonctionneront pas partout le 11 mai dans les conditions dans lesquelles elles fonctionnaient le 11 février ou le 11 janvier, ou avant les mesures de confinement".
Le Premier ministre est finalement intervenu qu'en toute fin de conférence sur la question qui avait pourtant cristallisé toutes les inquiétudes à l'issue de l'allocution présidentielle de lundi dernier. Le mpoins que l'on puisse dire est que le plus grand flou persiste à l'issue de cette nouvelle séquence explicative du duo Edouard Philippe / Olivier Véran.
Le gouvernement annonce en tout cas étudier divers scénarios. "Nous pouvons évidemment imaginer des hypothèses où ce seraient des moitiés de classes qui rentreraient à partir du 11 mai et qui, une semaine sur deux, pourraient avoir le lien physique et intellectuel avec le professeur pour ensuite alterner avec l'autre moitié de la classe. On peut imaginer l'utilisation des locaux de façon différente en utilisant des espaces plus larges que de simples classes. Pour faire court, on peut imaginer beaucoup de choses et nous devons travailler sur toutes les hypothèses", avance Edouard Philippe qui rappelle que le ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer s'est entretenu avec l'ensemble des interlocuteurs, des directeurs d'établissement aux organisations syndicales en passant par les fédérations de parents d'élèves.
Le Premier ministre est finalement intervenu qu'en toute fin de conférence sur la question qui avait pourtant cristallisé toutes les inquiétudes à l'issue de l'allocution présidentielle de lundi dernier. Le mpoins que l'on puisse dire est que le plus grand flou persiste à l'issue de cette nouvelle séquence explicative du duo Edouard Philippe / Olivier Véran.
Le gouvernement annonce en tout cas étudier divers scénarios. "Nous pouvons évidemment imaginer des hypothèses où ce seraient des moitiés de classes qui rentreraient à partir du 11 mai et qui, une semaine sur deux, pourraient avoir le lien physique et intellectuel avec le professeur pour ensuite alterner avec l'autre moitié de la classe. On peut imaginer l'utilisation des locaux de façon différente en utilisant des espaces plus larges que de simples classes. Pour faire court, on peut imaginer beaucoup de choses et nous devons travailler sur toutes les hypothèses", avance Edouard Philippe qui rappelle que le ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer s'est entretenu avec l'ensemble des interlocuteurs, des directeurs d'établissement aux organisations syndicales en passant par les fédérations de parents d'élèves.