Le variant réunionnais avait été découvert en mai dernier par les chercheurs de l'Université de La Réunion de l’unité UMR Pimit, au CYROI. Ce variant, nommé B1 622, avait été relevé chez environ 70 personnes atteintes de la Covid-19, et semblait moins virulent que ses homologues.
Plus de variant réunionnais à La Réunion
“Il ne circule plus sur l’île”, annonce le docteur Mavingui, directeur de recherches au CNRS et directeur du laboratoire d'infectiologie de l’Université de La Réunion.
Une souche sous haute surveillance
En revanche, d’autres mutations se poursuivent. Depuis plusieurs semaines, des variantes de variants de la Covid-19 ont fait leur apparition, parmi lesquels des "sous-sous-variant" Delta.
“Ce sont les mutations qui sont différentielles par rapport au Delta. Un sous-variant, appelé AY.4, est en train de générer quelques lignées qui sont différentes”, explique le docteur Mavingui.
L’une de ces lignées, le AY.4.2, détecté au Royaume-Uni, est suivi de près par l’OMS. Il a, depuis, été identifié au Danemark, en Israël, et fait l'objet de suspicions dans l'Hexagone.
Plus contagieux, “ses mutations peuvent poser problème, car elles pourraient augmenter l’échappement vaccinal”, explique le directeur de recherches au CNRS et directeur du laboratoire d'infectiologie de l’Université de La Réunion.
À La Réunion, où le variant Delta est majoritaire, on recense 20 sous-variants AY.4. Après analyse, aucun cas ne relève, pour l'heure, d’une mutation AY.4.2.
Plus de variant réunionnais à La Réunion
“Il ne circule plus sur l’île”, annonce le docteur Mavingui, directeur de recherches au CNRS et directeur du laboratoire d'infectiologie de l’Université de La Réunion.
Une souche sous haute surveillance
En revanche, d’autres mutations se poursuivent. Depuis plusieurs semaines, des variantes de variants de la Covid-19 ont fait leur apparition, parmi lesquels des "sous-sous-variant" Delta.
“Ce sont les mutations qui sont différentielles par rapport au Delta. Un sous-variant, appelé AY.4, est en train de générer quelques lignées qui sont différentes”, explique le docteur Mavingui.
L’une de ces lignées, le AY.4.2, détecté au Royaume-Uni, est suivi de près par l’OMS. Il a, depuis, été identifié au Danemark, en Israël, et fait l'objet de suspicions dans l'Hexagone.
Plus contagieux, “ses mutations peuvent poser problème, car elles pourraient augmenter l’échappement vaccinal”, explique le directeur de recherches au CNRS et directeur du laboratoire d'infectiologie de l’Université de La Réunion.
À La Réunion, où le variant Delta est majoritaire, on recense 20 sous-variants AY.4. Après analyse, aucun cas ne relève, pour l'heure, d’une mutation AY.4.2.