Jean-François M. ne pensait peut-être pas finir en prison ; d’où son comportement indiscipliné pendant et après son procès. Ce vendredi, il comparaissait devant le tribunal correctionnel de Saint-Denis pour des violences et menaces sur sa compagne. Des agissements qui seraient une habitude, au vu de son casier judiciaire (viol puis violences).
Le 4 octobre dernier à Saint-Denis, il l’a en effet coursée avec un couteau à la main. Elle appelle la police qui le cherche, le trouve, lui court après avant qu’il ne se cache sous une voiture. Malgré ses coups de pieds, insultes et menaces, ils parviennent à le tirer par les jambes et le menotter. Mais cela n’empêche pas le violent de 38 ans, fortement alcoolisé, de continuer à donner des coups et menacer un policier de mort. En garde à vue il affirme ne se souvenir de rien. Mais au fur et à mesure que l’alcool s’évapore, Jean-François M. avoue les faits.
Il est alors placé sous contrôle judiciaire et tout contact avec la victime - sa compagne et la mère de ses deux enfants - est interdit. Mais ça, il n’a pas l’air de s’en soucier car il arrive au tribunal avec elle et reste assis à ses côtés malgré la demande des policiers de les voir éloignés. La femme, sans surprise, ne porte pas plainte et ne se constitue pas partie civile. Mais il affirme sans hésitation aucune, que ces deux derniers mois, l’interdiction a été respectée.
Alors que les magistrats se sont retirés pour délibérer, le couple attend dans la salle d’audience. Les policiers le surveillent de très près. Il adresse la parole à sa compagne, un policier le réprimande. Il marmonne dans sa barbe, puis tente de rediscuter avec elle. Les policiers perdent patience après plusieurs sommations et le prévenu est finalement soulevé du banc et jeté dehors.
Il est autorisé à rentrer dans la salle pour la décision des juges : deux ans de prison avec mandat de dépôt. Direction le centre pénitencier.
Le 4 octobre dernier à Saint-Denis, il l’a en effet coursée avec un couteau à la main. Elle appelle la police qui le cherche, le trouve, lui court après avant qu’il ne se cache sous une voiture. Malgré ses coups de pieds, insultes et menaces, ils parviennent à le tirer par les jambes et le menotter. Mais cela n’empêche pas le violent de 38 ans, fortement alcoolisé, de continuer à donner des coups et menacer un policier de mort. En garde à vue il affirme ne se souvenir de rien. Mais au fur et à mesure que l’alcool s’évapore, Jean-François M. avoue les faits.
Il est alors placé sous contrôle judiciaire et tout contact avec la victime - sa compagne et la mère de ses deux enfants - est interdit. Mais ça, il n’a pas l’air de s’en soucier car il arrive au tribunal avec elle et reste assis à ses côtés malgré la demande des policiers de les voir éloignés. La femme, sans surprise, ne porte pas plainte et ne se constitue pas partie civile. Mais il affirme sans hésitation aucune, que ces deux derniers mois, l’interdiction a été respectée.
Alors que les magistrats se sont retirés pour délibérer, le couple attend dans la salle d’audience. Les policiers le surveillent de très près. Il adresse la parole à sa compagne, un policier le réprimande. Il marmonne dans sa barbe, puis tente de rediscuter avec elle. Les policiers perdent patience après plusieurs sommations et le prévenu est finalement soulevé du banc et jeté dehors.
Il est autorisé à rentrer dans la salle pour la décision des juges : deux ans de prison avec mandat de dépôt. Direction le centre pénitencier.