"Des faits d’une rare violence". C’est ce que la procureure de la République a déclaré en 2018 au sujet des actes de Grégory Richard, 34 ans, sur sa conjointe pendant les six jours où il l’a séquestrée. Le Saint-Paulois est jugé ces mardi et mercredi par la cour d’Assises pour actes de torture et barbarie, viols et séquestration.
Elle aurait vécu l’enfer. Violée, battue jusqu’à être défigurée, brûlée avec des cigarettes, les dents cassées et séquestrée à leur domicile, à Bellemène Saint-Paul. Elle avait pu se rendre à l’hôpital puis avait porté plainte auprès de la gendarmerie.
Cela faisait plus de six mois qu’ils habitaient ensemble. La jeune femme avait déjà porté plainte pour violences. Quant à Grégory Richard, il avait déjà été condamné par la cour d’Assises en 2011 pour des faits similaires. Au moment de son incarcération pour cette deuxième série de faits, l’accusé avait reconnu être "dangereux".
Elle aurait vécu l’enfer. Violée, battue jusqu’à être défigurée, brûlée avec des cigarettes, les dents cassées et séquestrée à leur domicile, à Bellemène Saint-Paul. Elle avait pu se rendre à l’hôpital puis avait porté plainte auprès de la gendarmerie.
Cela faisait plus de six mois qu’ils habitaient ensemble. La jeune femme avait déjà porté plainte pour violences. Quant à Grégory Richard, il avait déjà été condamné par la cour d’Assises en 2011 pour des faits similaires. Au moment de son incarcération pour cette deuxième série de faits, l’accusé avait reconnu être "dangereux".