Un accord commercial a été conclu entre Londres et Bruxelles après dix mois de négociations. La nouvelle a été annoncée hier, à une semaine de la fin de l’année, moment où le Royaume-Uni quittera le marché unique. Un soulagement pour bon nombre d’acteurs économiques et politiciens. Mais pas pour les pêcheurs de l'Hexagone.
Les pêcheurs français, comme les européens, vont devoir renoncer à une part de leurs prises dans les eaux de leur voisin britannique. C’est à l’issu d’une période de transition jusqu’en 2026 que les pêcheurs devront réduire progressivement leur prise, afin d’arriver à une baisse de 25%. Le coût chaque année : 650 millions d’euros.
Le gouvernement français a annoncé certaines mesures de soutien de la filière dont "une aide forfaitaire pouvant aller jusqu’à 30.000 euros en fonction de leur dépendance aux produits capturés dans les eaux britanniques". C’est le ministère de la Mer qui a fait des déclarations le jour-même, affirmant également que des arrêts temporaires seraient indemnisés à 30% du chiffre d’affaires. Une extension de l’activité partielle de longue durée pour les salariés ainsi qu’un plan de sortie de flotte pour les navires dépendants des eaux britanniques sont prévus.
Pour l’instant, la France voit son accès dans les 6 à 12 miles nautiques au large des eaux britanniques maintenu jusqu’en 2026.
Les pêcheurs français, comme les européens, vont devoir renoncer à une part de leurs prises dans les eaux de leur voisin britannique. C’est à l’issu d’une période de transition jusqu’en 2026 que les pêcheurs devront réduire progressivement leur prise, afin d’arriver à une baisse de 25%. Le coût chaque année : 650 millions d’euros.
Le gouvernement français a annoncé certaines mesures de soutien de la filière dont "une aide forfaitaire pouvant aller jusqu’à 30.000 euros en fonction de leur dépendance aux produits capturés dans les eaux britanniques". C’est le ministère de la Mer qui a fait des déclarations le jour-même, affirmant également que des arrêts temporaires seraient indemnisés à 30% du chiffre d’affaires. Une extension de l’activité partielle de longue durée pour les salariés ainsi qu’un plan de sortie de flotte pour les navires dépendants des eaux britanniques sont prévus.
Pour l’instant, la France voit son accès dans les 6 à 12 miles nautiques au large des eaux britanniques maintenu jusqu’en 2026.