
A.D a-t-il donné des gifles et coups de pied à sa compagne ? A-t-il menacé de l’égorger ? L’a-t-il traité de tous les noms ? A-t-il été un tyran alcoolique non seulement avec la dernière depuis 10 ans mais aussi avec celles d’avant ? "Des fois je peux être violent mais ce qui a été dit, c’est un peu abusé", affirme-t-il ce jeudi devant la cour d’appel.
Devant les magistrats, il nie la plupart des faits et minimise le reste. Le peu qu’il reconnaît aurait été fait sous l’emprise de l’alcool. Son excuse, semblerait-il. Son casier comprend d’ailleurs plusieurs infractions liées à sa consommation d’alcool. Il contient aussi des condamnations suite à la mauvaise gestion de ses pizzerias et salons de coiffures du sud. Pour chaque infraction : une explication.
Il emploie la même technique face aux accusations de ses ex-compagnes. "J’avais des problèmes d’alcool, mais elles en rajoutent un peu quand même. Elles étaient très jalouses". Son avocate a aussi évoqué une "accentuation du nombre de violences subies", fournissant des photos de la victime afin de la décrédibiliser.
Des arguments qui n’ont pas convaincu les juges. A.D a été condamné à la même peine qu’en première instance : quatre ans de prison dont un avec sursis, l’interdiction de détenir ou porter une arme pendant cinq ans et le retrait de son autorité parentale sur leurs deux enfants.
Devant les magistrats, il nie la plupart des faits et minimise le reste. Le peu qu’il reconnaît aurait été fait sous l’emprise de l’alcool. Son excuse, semblerait-il. Son casier comprend d’ailleurs plusieurs infractions liées à sa consommation d’alcool. Il contient aussi des condamnations suite à la mauvaise gestion de ses pizzerias et salons de coiffures du sud. Pour chaque infraction : une explication.
Il emploie la même technique face aux accusations de ses ex-compagnes. "J’avais des problèmes d’alcool, mais elles en rajoutent un peu quand même. Elles étaient très jalouses". Son avocate a aussi évoqué une "accentuation du nombre de violences subies", fournissant des photos de la victime afin de la décrédibiliser.
Des arguments qui n’ont pas convaincu les juges. A.D a été condamné à la même peine qu’en première instance : quatre ans de prison dont un avec sursis, l’interdiction de détenir ou porter une arme pendant cinq ans et le retrait de son autorité parentale sur leurs deux enfants.