FAITS DIVERS
Le Quotidien revient lui aussi sur le triple meurtre de Saint-Louis. « Deux familles endeuillées« , titre le journal. Les corps d’Irèna et de Samson Manouéré ont été autopsiés hier. Les coups de couteau portés par Janick Mercereau leur ont été fatals. L’autopsie des corps du meurtrier présumé et de sa maîtresse, Alexandra Manouéré doit être réalisée ce matin.
L’information est reprise par les deux journaux : un malvoyant a été mortellement fauché sur la Rn2, tôt hier matin, au niveau de Bras-Panon. L’homme est décédé peu après l’arrivée des secours. L’automobiliste se rendait à son travail lorsqu’il a percuté le piéton. Les mauvaises conditions de visibilité dues à la nuit et à la pluie pourraient être à l’origine du drame.
ÉCONOMIE
« Le cluster à toutes les sauces« , titre le Quotidien. « Environnement : Maurice et la Réunion veulent « clusteriser » pour mieux innover« , titre de son côté le Jir. Les deux journaux font le point sur la 2e journée des rencontres Réunion-Maurice du développement durable dans l’île soeur. Une journée placée sous le signe des clusters. Ces outils qui regroupent les partenaires publics et privés, peuvent potentiellement dynamiser certains secteurs de l’économie. Un premier cluster « green » est déjà en chantier et un autre, sur la biotechnologie pourrait venir compléter Tétranergie, le cluster local dédié aux énergies renouvelables.
« Le Grand Port attend son président« , titre le Quotidien. La société « Grand Port maritime » sera officiellement créé le 1er janvier. Les différents acteurs ont été appelés à désigner les administrateurs de cette nouvelle société. La présidence du directoire est promise à Stéphane Raison, mais il reste encore à désigner les membres et la présidence du conseil de surveillance. La préfecture vient de faire remonter à Paris, une liste de noms susceptibles d’être désignés.
SOCIÉTÉ
« La pile plate, loin d’être dans la charrette« , titre le Jir. La saga de la pile plate continue, nous dit le journal. Le petit flacon, véritable produit emblématique de l’île est stigmatisé par les pouvoirs publics pour être l’instrument d’un alcoolisme de masse dans notre île. Pourtant, la flasque aurait due être retirée de la vente depuis 2008. Si le taux d’alcool est désormais passé sous la barre des 40 % dans les mini-bouteilles (contre 49 % auparavant), leur distribution n’a jamais cessé. Pour les spécialistes, les producteurs de rhum ont fait preuve d’hypocrisie.