« Je suis époustouflée par ce beau caillou qu’est la Réunion« , confie Valérie Messika. Et en matière de caillou, on peut dire qu’elle s’y connaît. Héritière de la passion de son père André, diamantaire, la joaillère connaît la reine des gemmes sur le bout des doigts.
Tout juste rentrés de Miami pour lancer la marque sur le marché américain, Valérie Messika et son époux Jean-Baptiste ont présenté quelques-unes de leurs pièces dans leur espace de vente éphémère, à la Maison Narsy.
Des colliers et des bracelets flexibles sertis de multiples diamants, qui « épousent la peau, quelque soit la morphologie« . L’esprit « casual diamond » qui fait aujourd’hui l’identité de Messika a séduit les plus grandes stars comme Beyonce. La chanteuse portait notamment la double bague Amazone lors de sa visite à Paris.
La créatrice a fait du chemin depuis son premier collier, inspiré de la traditionnelle rivière de diamants. La joaillerie familiale Messika est aujourd’hui implantée dans une cinquantaine de pays. « Nous n’étions que trois il y a encore cinq ans », se souvient Jean-Baptiste. Il dirige aujourd’hui une centaine de personnes.
Valérie Messika présentera demain soir « une bague exceptionnelle » ornée d’un diamant bleu: « C’est une pierre extrêmement rare que l’on a presque jamais l’occasion d’en voir dans sa vie, même dans ce métier« .