Revenir à la rubrique : Social

[VIDEO] Un plan social à venir à la CCIR ? Entre 20 et 30 personnes concernées

Les élus de la Chambre de commerce et d’industrie de La Réunion (CCIR) se sont réunis ce jeudi 30 novembre en assemblée générale à l’hôtel consulaire pour valider le budget primitif 2018 pour l’ensemble des services. Un budget primitif calqué sur celui de 2017, à savoir 45 millions d’euros, et voté à l’unanimité par les […]

Ecrit par SI – le jeudi 30 novembre 2017 à 19H21

Les élus de la Chambre de commerce et d’industrie de La Réunion (CCIR) se sont réunis ce jeudi 30 novembre en assemblée générale à l’hôtel consulaire pour valider le budget primitif 2018 pour l’ensemble des services. Un budget primitif calqué sur celui de 2017, à savoir 45 millions d’euros, et voté à l’unanimité par les élus dans un contexte de diminution des ressources.

Pour rappel, le projet de loi de finances 2018 prévoit une réduction du budget du réseau CCI France de l’ordre de 150 millions d’euros. La CCIR participera à cet effort à hauteur de 1 million d’euros, qui aura un impact direct sur les comptes de la chambre consulaire réunionnaise.

S’il ne cache pas son inquiétude sur cet énième coup de rabot de la part du gouvernement, Ibrahim Patel, a reconnu pour la première fois qu’un plan social ne « serait pas à exclure » dans les prochaines années « comme en métropole » pour équilibrer les comptes. Un plan social qui concernerait « entre 20 et 30 personnes » prévoit Ibrahim Patel, mais basé « sur des départs volontaires, la fin des activités non-rentables comme celles liées à la formation, une restructuration de la chambre consulaire ou encore les départs en retraite ».

Pour faire face à ce nouveau manque, Ibrahim Patel et ses équipes pensent à se défaire de la ZIC du Port. « Une opportunité qui pourrait être une force pour nous » assure le patron des patrons. « Cela va générer des recettes pour la chambre de commerce. Des recettes qui seront ensuite injectées dans le projet de Saint-Pierre », termine-t-il.  

 

Thèmes :
Message fin article

Avez-vous aimé cet article ?

Partagez-le sans tarder sur les réseaux sociaux, abonnez-vous à notre Newsletter,
et restez à l'affût de nos dernières actualités en nous suivant sur Google Actualités.

Pour accéder à nos articles en continu, voici notre flux RSS : https://www.zinfos974.com/feed
Une meilleure expérience de lecture !
nous suggérons l'utilisation de Feedly.

S’abonner
Notification pour
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires

Dans la même rubrique

L’avenir du Quotidien de La Réunion entre les mains du tribunal de commerce

Alfred Chane-Pane et Henri Nijdam ont défendu leur projet respectif de reprise du Quotidien, mercredi après-midi à la barre du tribunal de commerce de Saint-Denis. Le premier a fait valoir le fait qu’il détenait une imprimerie ultra-moderne, tandis que le second a rehaussé son compte courant d’associés à 1,5 million d’euros. Le délibéré interviendra le 3 avril.

Des personnels des Foyers départementaux de l’enfance alertent sur leurs conditions de travail

Des agents des Foyers d’accueil départementaux ont fait grève ce vendredi matin pour dénoncer un déficit structurel de personnels et de moyens ne leur permettant pas d’assurer l’encadrement des enfants placés dont ils ont la charge. Le syndicat FO réclame par ailleurs l’application du statut de la fonction publique hospitalière dans l’avancement des agents et dénonce le recours jugé trop fréquent aux contractuels et aux intérimaires.

Le service public en grève pour les salaires ce matin

L’intersyndicale CFDT – CFE CGC – CGTR – FO – FSU – SAIPER – Solidaires – UNSA a organisé ce mardi une manifestation des agents et contractuels du service public et de la territoriale à Saint-Denis et Saint-Pierre. Après les importantes mobilisations contre la réforme des retraites, l’interrogation sur la capacité à reprendre le combat demeure.

Le Bouclier Qualité Prix intègre maintenant des pièces automobiles

Le Bouclier Qualité Prix 2024 a été dévoilé ce lundi en préfecture. Le préfet annonce l’ajout d’une prestation et de quatre pièces automobiles. Pour les produits de consommation courante, les services de l’Etat ont pu figer les prix malgré l’inflation. Un exploit qui risque de ne pas être réédité l’année prochaine.