Un requin a été aperçu dans le lagon de la Saline-Les-Bains, selon des témoins sur place.
La zone de baignade entre Trou d’eau et Planche Alizée a été évacuée.
Les gendarmes sont sur les lieux.
Un requin a été aperçu dans le lagon de la Saline-Les-Bains, selon des témoins sur place.
La zone de baignade entre Trou d’eau et Planche Alizée a été évacuée.
Les gendarmes sont sur les lieux.
Le procès de Didier Robert, ancien président de la Région Réunion, s’est conclu après d’intenses débats judiciaires sur des accusations d’emplois fictifs et de détournement de fonds. Le délibéré de cette affaire politico-judiciaire, très attendu, sera rendu le 21 mai, en pleine période électorale. Les avocats des 11 prévenus, vent debout contre l’enquête préliminaire menée par des policiers spécialisés en la matière, ont unanimement plaidé la relaxe.
Le comportement de cette mère de deux enfants avait défrayé la chronique. En juin 2022, elle avait quitté La Réunion avec ses deux fils, sans l’accord du père. Ils avaient été retrouvés in extremis aux Comores. En son absence, elle a été jugée ce jeudi pour soustraction de mineurs.
Laurie*, 32 ans, comparait ce jeudi à la barre d’un tribunal correctionnel de Saint-Pierre pour avoir frappé l’homme avec qui elle entretient avant tout une relation sexuelle. “J’ai fait de la boxe, j’ai appris à me défendre” livre-t-elle.
La procureure de la République Véronique Denizot a demandé la condamnation des 11 prévenus de l’affaire des emplois présumés illégaux de la Région, ce jeudi lors de la quatrième journée du procès, une peine de 5 ans d’inéligibilité étant notamment requise pour l’ancien président Didier Robert, visé pour prise illégale d’intérêts et détournement de fonds . L’actuelle mandature de la Région, partie civile du procès, a demandé un préjudice à hauteur de 1,5 million correspondant à la somme des salaires versés aux huit conseillers techniques poursuivis pour recel.
Des peines de prison avec sursis et d’inéligibilité ont été requises dans l’affaire du cabinet noir de Didier Robert lors du quatrième jour d’audience.
Un père de famille était jugé hier pour des violences sur ses filles sur plusieurs années. Faute d’élément matériel puisque les faits remontent à longtemps, les magistrats ont dû détricoter chaque témoignage pour tirer le vrai du faux. Finalement, il a été condamné à une peine « pédagogique » afin de changer ses méthodes éducatives.