La société fournisseur d’énergies renouvelables SFER devait répondre ce mercredi 20 mars de tapage nocturne devant le tribunal d’instance de Saint-Paul. Une plainte avait été déposée en ce sens après une soirée événementielle très bruyante à en croire les riverains du quartier Ylang de Cambaie Saint-Paul. Une appréciation corroborée par les gendarmes qui avaient été appelés pour constater l’infraction ce soir d’octobre 2011 (voir [notre précédent sujet]urlblank:http://www.zinfos974.com/La-SFER-convoquee-devant-le-tribunal-pour-tapage-nocturne_a53157.html ).
Le tribunal a finalement retenu les arguments de vice de forme déployés par l’avocat de la SFER. C’est tout d’abord la prescription des faits, puis le fait d’avoir dirigé la plainte contre Bruno Cohen (directeur de la SFER) et non contre la société qui ont convaincu la juge de prononcer un non lieu.
Les faits s’étaient déroulés lors de l’inauguration festive du show-room de la société, en plein milieu d’un lotissement de Cambaie.
L’exaspération ira crescendo cette nuit-là où des véhicules de la SFER avaient été abîmés suite aux nuisances sonores. Il était alors reproché à Bruno Cohen d’avoir proféré des menaces de mort et des insultes à caractère raciste envers les riverains qui lui vaudront un rappel à la loi.
Ce dernier point nourrit la déception des plaignants qui ne comprennent pas que cette partie de la plainte n’ait jamais abouti en justice. La partie finalement la plus grave à leurs yeux.