Tous les jours, nous voyons des pubs qui fleurissent pour perdre du poids facilement, rapidement sans efforts, vantées par des Miss recyclées, à qui l’appât du gain fait oublier les règles les plus élémentaires et les valeurs qu’elles prétendaient avoir lors de leurs élections.
En France, comme ailleurs , rien ne suit.
Dans les magasins de fringues, cela s’arrête à la taille 48 et quand certains magasins, hélas, quasi inexistants à la REUNION, proposent des grandes tailles : « Au secours » !
A croire que tous ces spécialistes, embauchés à coups de salaires mirobolants et recrutés hors place, parce que soi- disant plus compétents, ont leur vue brouillée par leurs lunettes de soleil de marque offertes pour 1e de plus.
Est-ce parce qu’être en surpoids c’est obligatoirement devoir être puni et condamné à la laideur?
Vous essayez d’interroger les vendeurs ou gérants et leur réponse est affligeante : « Ce sont les fournisseurs »
Mais qui commande ? Qui paie? Doit- on être béni oui-oui ou au service de sa clientèle d’abord ?
Les magasins regorgent de tailles uniques qui prétendent convenir à un 34 comme à un 60, une foison de vêtements ultra décolletés, moulants, transparents, sans manches.
Et les autres ?
Les boutiques par correspondances font payer le quadruple un vêtement annoncé 9€ en
Taille 38 ; La plupart du temps, il ne reste plus de tailles au-dessus du 44. Sans compter que les livraisons Outremer sont quasi inexistantes.
Qui fera croire qu’un modèle T48 ne peut pas se faire au-delà ?
Les chaussures n’en parlons pas : en dehors des ballerines, compensés, super-plats, talons démesurés, il n’y a rien pour celles qui sont obligées de mettre des talons minimums 2/3 cm plats à cause de problème de chevilles.
A quand une véritable considération de la clientèle réelle et pas imaginée ?