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Stéphane Fouassin dévoile la feuille de route de l’IRT pour l’année à venir

L’heure du renouveau a sonné. Le nouveau président de l’Ile de La Réunion Tourisme (IRT), Stéphane Fouassin, vient de dévoiler à Boucan Canot la feuille de route de l’organisme touristique pour l’année à venir. Une feuille de route établie dans la perspective de la révision du Schéma de  développement et d’aménagement touristique de La Réunion […]

Ecrit par – le vendredi 01 juillet 2016 à 12H42

L’heure du renouveau a sonné. Le nouveau président de l’Ile de La Réunion Tourisme (IRT), Stéphane Fouassin, vient de dévoiler à Boucan Canot la feuille de route de l’organisme touristique pour l’année à venir. Une feuille de route établie dans la perspective de la révision du Schéma de  développement et d’aménagement touristique de La Réunion (SDATR).

« La Réunion est la seule île qui permet de vivre aussi intensément une palette d’expériences en toute sécurité », a fait valoir Stéphane Fouassin, pour qui il faut jouer sur le facteur « émotion » des potentiels touristes. Pour promouvoir la destination Réunion, l’IRT a entrepris de nouvelles actions de valorisation de La Réunion, en participant à la venue des candidats à l’élection de Miss France 2016 ou encore la nomination de Dimitri Payet comme ambassadeur d’honneur de l’île. Des actions qui participent à faire « rayonner de façon positive l’île de La Réunion sur ses marchés », explique l’organisme.

Intensifier la « désaisonnalisation »

Trois axes majeurs ont été identifiés par la nouvelle équipe pour augmenter les recettes générées par le tourisme, à savoir conquérir de nouvelles clientèles pour augmenter la fréquentation touristique, augmenter la durée des séjours et accroître les dépenses par personne.

L’île de La Réunion Tourisme souhaite également pérenniser la promotion de la destination Réunion sur ses marchés considérés « prioritaires » comme les pays francophones, germanophones ou encore de la zone océan Indien (Chine, Afrique du Sud). Elle poursuivra aussi la diversification des marchés, notamment en Europe du Nord, en partenariat avec les Îles Vanille, sans oublier d’intensifier la « désaisonnalisation » en fonction des attentes des voyageurs.

 

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