Revenir à la rubrique : Faits divers

St-Paul : Un piéton grièvement blessé, entre la vie et la mort

Hier soir, vers 19 heures, un homme de 62 ans a été heurté par un véhicule au niveau du cimetière marin de Saint-Paul. Ce dernier titubait au milieu de la route. Il a été évacué vers l'hôpital de Bellepierre dans un état critique.

Ecrit par – le samedi 30 juillet 2011 à 08H03

Vers 19 heures à Saint-Paul, au niveau du cimetière marin, un homme de 62 ans rentrait chez lui à Cap Marianne. Il titubait au milieu de la RN1 et a été percuté par un véhicule. Il a heurté le pare-brise de la voiture avant de retomber sur la chaussée.

Immédiatement prévenus, les secours et le Smur sont rapidement arrivés sur place. En arrêt cardio-respiratoire, les secours sont parvenus à le ranimer et la victime a été évacuée dans un premier temps vers Saint-Paul, avant d’être transportée à Bellepierre à cause de l’aggravation de son état de santé.

Selon les premiers éléments de l’enquête, l’homme aurait "consommé de l’alcool", souligne le Quotidien. De son côté, le dépistage d’alcoolémie pratiqué par les gendarmes sur le conducteur s’est révélé négatif. Par le passé, "le Saint-Paulois aurait déjà été percuté à trois reprises", explique le journal, sur la même portion de route.

Actuellement en soins intensifs au centre hospitalier de Bellepierrre, l’homme de 62 ans est dans un état critique.

 

Thèmes :
Message fin article

Avez-vous aimé cet article ?

Partagez-le sans tarder sur les réseaux sociaux, abonnez-vous à notre Newsletter,
et restez à l'affût de nos dernières actualités en nous suivant sur Google Actualités.

Pour accéder à nos articles en continu, voici notre flux RSS : https://www.zinfos974.com/feed
Une meilleure expérience de lecture !
nous suggérons l'utilisation de Feedly.

S’abonner
Notification pour
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires

Dans la même rubrique

Un incendie se déclare dans un immeuble SIDR à Saint-Denis

Ce mercredi peu avant 19 heures, un appartement situé au 1er étage de la résidence SIDR Camp Jacquot situé à l’angle de la rue Camp Jacquot et général de Gaulle à Saint-Denis a pris feu. Les sapeurs pompiers ont déployé la grande échelle pour accéder à l’appartement en proie aux flammes. Fort heureusement, il n’y a pas de blessés à déplorer. Par mesure de précaution, l’ensemble de l’immeuble a été évacué.

Viol d’une prostituée sur la voie publique : L’auteur présumé ne voulait pas payer

Gabriel*, mis en examen le 25 août 2022 pour un viol commis la veille sur une prostituée rencontrée via les réseaux sociaux, a donné des explications variables sur le non paiement de ses services. Il a été décrit par des experts comme ayant des difficultés relationnelles mais sans dangerosité criminelle. Malgré sa demande de libération, la chambre de l’instruction a maintenu sa détention, suivant l’avis du parquet général qui craint qu’il exerce des pressions sur la victime.

Trafic de stupéfiants en bande organisée : 45 kilos de zamal péi retrouvés au domicile d’un cultivateur

Jean-Cédric L., 45 ans, a été arrêté pour avoir cultivé 45 kg de cannabis chez lui, impliqué dans un trafic entre l’Île Maurice et La Réunion. Après un an en détention provisoire, il a été placé sous contrôle judiciaire, mais reste sous les verrous après un appel du parquet. Le réseau d’envergure bien huilé révèle des envois fréquents et volumineux vers Maurice.

Soupçons d’emplois illégaux : Didier Robert, Alfred Ablancourt et Ismaïl Aboudou se défendent à la barre

La deuxième journée du procès des emplois de cabinet de la Région a conforté la défense dans sa contestation de la partialité de l’enquête menée par l’OCLCIFF : les témoins auditionnés ont en effet tous confirmé l’effectivité des missions effectuées par les ex-conseillers techniques Alfred Ablancourt et Ismaïl Aboudou, tandis que le troisième prévenu appelé à la barre, l’ancien président Didier Robert, a martelé sa légitimité, en tant que chef de l’administration, à choisir lui-même les personnes embauchées dans son cabinet. Enfin, le DGS d’alors Mohamed Ahmed, convoqué comme témoin, a souligné qu’un arrêté relatif à l’organisation administrative de la Région avait rattaché certains services au cabinet, sans que cela ne soit contesté ni par le contrôle de la légalité, ni par le tribunal administratif.