Dans un quartier de Saint-Benoît, la culture de zamal est visiblement une histoire de voisins.
En patrouille, « les militaires du peloton de surveillance et d’intervention de la Gendarmerie aperçoivent plusieurs pieds de zamal, très hauts, dépassant d’une clôture », rapporte la Gendarmerie de La Réunion
En traitant cette première affaire, ils découvrent chez le voisin d’autres pieds, tout aussi hauts. « Et c’est avec stupeur qu’ils aperçoivent d’autres pieds de zamal chez un troisième voisin », précise la gendarmerie.
Au total, ce sont près de 20 pieds qui ont été saisis, avant d’être détruits. Les mis en cause devront répondre de leurs actes devant la justice.