Zinfos974 : Vous parlez d’une « opposition avec certains élus et une partie des hommes », ce qui a conduit à une situation où plus rien ne semble « fonctionner ». Peut-on parler véritablement de rupture dans la chaîne de commandement au sein du SDIS, rupture qui peut affecter des décisions prises en opération ?
Zinfos974 : Pourquoi personne n’a pris la décision d’écarter le colonel Vandebeulque de la direction du SDIS ?
Zinfos974 : Depuis que vous avez été licencié de votre poste de directeur de cabinet, ce service a été purement et simplement liquidé. Il n’y a donc plus de relais entre la direction du SDIS, les élus et les hommes ? Comment ces derniers le vivent-ils au quotidien ?
Zinfos 974 : Il y a une affaire qui n’a toujours pas été jugée au tribunal administratif. Il s’agit du recours du colonel Loubry qui a contesté la nomination du colonel Jacques Vandebeulque à la tête du SDIS (ndlr : Le colonel Vandebeulque aurait été nommé alors que son nom ne figurait pas parmi les trois candidats sélectionnés lors de la désignation du directeur du SDIS. Pour être nommé directeur du SDIS il faut être sur une liste d’aptitude, liste sur laquelle n’aurait pas figuré le nom du colonel. Le colonel Loubry a déposé un recours dans ce sens au TA pour demander l’annulation). Qu’en est-il aujourd’hui ?
Zinfos974 : Comment se passait la gestion au quotidien du SDIS, sous le commandement du colonel Jacques Vandebeulque, lorsque vous officiez en tant que directeur de cabinet entre 2010 et 2011 ?