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Quand Mayotte flirte avec des méthodes nauséabondes…

Mayotte se trouve dans uns situation extraordinaire, au sens littéral du mot : plus de la moitié de sa population est composée d’immigrés clandestins, originaires pour la plupart des Comores. Chacun y trouve son compte : les Mzungus (nos Zoreils) et les Mahorais qui bénéficient là une main d’oeuvre pas chère qu’ils peuvent exploiter à […]

Ecrit par zinfos974 – le mardi 19 mars 2013 à 18H03

Mayotte se trouve dans uns situation extraordinaire, au sens littéral du mot : plus de la moitié de sa population est composée d’immigrés clandestins, originaires pour la plupart des Comores.

Chacun y trouve son compte : les Mzungus (nos Zoreils) et les Mahorais qui bénéficient là une main d’oeuvre pas chère qu’ils peuvent exploiter à l’envi. Et les Comoriens en situation irrégulière ne se plaignent pas vu que leur situation est malgré tout bien meilleure que celle qu’ils connaissaient dans leur pays.

Pour autant, cette situation n’a pas que des avantages : une délinquance qui explose et surtout, maintenant qu’ils sont majoritaires dans le département, des illégaux qui refusent par exemple qu’on les forces de l’ordre organisent des opérations d’envergure pour les attraper et les renvoyer aux Comores. Et qui manifestent bruyamment quand la chose se produit, quitte à ce que ça dérape et se transforme en émeutes anti-blancs comme ça se produit régulièrement.

Cette présence massive de clandestins a une autre conséquence moins connue, et que les autorités aimeraient passer sous silence : les enfants n’étant pas expulsables, sauf si un adulte accepte de les accompagner, il n’est pas rare que des parents abandonnent leurs enfants dans l’ile, dans l’espoir qu’ils y connaissent une vie meilleure que celle qui serait la leur s’ils rentraient à Anjouan ou dans une autre ile des Comores.

Selon les chiffres officiels, 26.000 clandestins sont reconduits tous les ans à la frontière, dont 6.000 mineurs, pour 25.000 expulsions au niveau national. Mais on ne dispose par contre d’aucun chiffre officiel sur le nombre d’enfants orphelins, abandonnés dans l’ile.

Cette présence massive de clandestins se répercute également dans les écoles puisque la loi du 10 juillet 1989 stipule que « tout enfant peut être accueilli, à partir de l’âge de 3 ans, dans une école proche de son domicile si sa famille en fait la demande« . L’article L.113-1 du code de l’Education nationale et une circulaire du ministre de l’Education nationale du 6 juin 1991 précisent qu' »aucune condition de nationalité ne doit être opposée et aucune discrimination ne doit être faite pour les enfants étrangers« . Et la non-discrimination à l’égard des enfants étrangers est expressément rappelée par le ministre de l’Education nationale dans des circulaires du 6 juin 1991 et du 20 mars 2002. Enfin, l’inscription des enfants âgés de moins de 18 ans ne devrait pas poser de problème, les étrangers présents en France n’étant soumis à l’obligation de titre de séjour qu’à partir de l’âge de 18 ans.

Depuis quelques jours, des « citoyens indignés » demandent aux Mahorais d’envoyer un mail au préfet et au recteur de l’ile pour protester contre des « rafles » opérées par les habitants de certains villages de Mayotte venus chercher dans les écoles les filles et fils des clandestins, pour les remettre aux forces de l’ordre.

Selon ce document, « face à la fermeté des villageois dans leur volonté de chasser ces étrangers, les différents services de l’état français à Mayotte ont alors décidé d’officialiser un véritable service public de délation : « lors d’une rencontre avec le vice-rectorat, la gendarmerie et les représentants des villageois, le directeur de cabinet du préfet, a accepté, au nom de l’apaisement des esprits, que les membres du collectif soient associés à la lutte contre l’immigration clandestine en fournissant des informations aux forces de l’ordre sur le statut administratif supposé de certains habitants de la commune« .

Selon ces « indignés« , on renouerait là avec des méthodes dignes du gouvernement de Vichy, où les Français collabos dénonçaient aux Allemands les Français d’origine juive…

 

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