Cette affaire fait la une de la presse écrite ce mercredi. Réclamant le déplacement d’une employée de l’école Claire Hénou à la Plaine des Palmistes, une de ses plus ferventes opposantes, le maire de la commune Marco Boyer a ramené des militants devant l’établissement scolaire.
Mais hier, un cap a été franchi dans ces tensions, puisque des violences ont émaillé cette « manifestation » organisée par la municipalité palmi-plainoise.
Comme l’écrit Le Quotidien, « malgré la présence des gendarmes », ce nouveau rassemblement a dégénéré : deux mères de famille en sont venues aux mains tandis qu’un journaliste du JIR a été « pris à partie et molesté ».
Marco Boyer, lui, apporte malgré tout son soutien aux manifestants -employés communaux pour bon nombre d’entre eux-, et met ces débordements sur le compte de la colère des parents. Selon lui, une enquête administrative doit être menée par le Rectorat. L’académie lui a répondu par la négative.