Une journée de grève qui a consisté à marquer fortement la défiance vis-à-vis de la politique de gestion de la société : « Les mesures envisagées pour redresser la situation ne peuvent pas tenir uniquement à la réduction de la masse salariale », explique Yannick Bernardeau, représentant syndical.
Pas de Quotidien demain
Le 22 mars auront lieu les entretiens préalables au licenciement. On sait déjà que sur les sept salariés, cinq acceptent leur licenciement. Selon leur situation, ils demandent que, comme prévu par la loi, leurs soient proposés les dispositifs de reclassement ou de pré-retraite. Les élus du personnel ont déjà affirmé qu’ils s’assureront que les droits des sept salariés seront bien respectés.
Cette journée de grève a pour conséquence la non-parution du journal demain. Le Quotidien sera donc absent de vos kiosques habituels.