Le chef de l’Etat est revenu sur la crise sociale, économique et identitaire, au début de son discours. “Tous les problèmes n’ont pas été résolus”. Nicolas Sarkozy a rappelé qu’une démarche a été mise en place avec les Etats généraux. “Nous avons identifiés les blocages, nous avons cherché des solutions communes, qui doivent se concrétiser en actes. Vos aspirations sont les mêmes que celles des métropolitains. Il nous faut réformer ce qui doit l’être et prendre la bonne décision”.
“Il y a aussi ceux qui étaient contre la démarche. Ils avaient leurs raisons. Il y avait tous ces non-dits. Mais, j’appelle chacun à prendre leur responsabilité”. Le président de la République a souligné la combinaison de la Lodeom (Loi d’orientation pour le développement économique) et du CIOM (Conseil interministériel de l’Outre-mer).
“Nous avons définis trois autres objectifs : s’engager contre la vie chère qu’on ne peut accepter quand c’est un problème de monopole et de blocage. Il y a aussi le développement économique endogène et que l’État soit le promoteur de l’égalité des chances”. Nicolas Sarkozy a insisté sur le fait que l’État doit également respecter sa parole.