La présidente du conseil général se répand en imprécations et lamentations sur diverses ondes. Comme le clown de Saint-Leu, elle crie au loup mais ne convainc plus.
Je rappellerai que lorsque Jacques Tillier avance des faits, il ne les a pas inventés : il est informé, ce bougre, et plutôt trois fois qu’une. C’est du béton.
Petit retour en arrière pour celle qui se voudrait blanche colombe… Lorsque Nassimah voulut se lancer en politique, dans les années 90, nous étions tous derrière elle : une jeune intellectuelle, convaincante (trop ?), un renouvellement polituque, voici qui semblait de bonne augure et effectivement, au début, elle tint toutes ses promesses.
Puis, comme telle autre grande chanteuse, elle a pris la grosse tête et, oubliant pourquoi elle était là (le service du public), elle n’a plus pensé qu’au sien, de service.
Quand elle s’apprêtait à conquérir les sommets, elle a su trouver les journalistes pour les avertir de ses moindres éternuements.
Une fois au sommet, elle a oublié tous ses numéros de téléphone. J’en sais quelque chose : lorsque je me retrouvai dans la merde, malgré plusieurs appels au secours, elle a été aux abonnés absents.
Alors, ses pudeurs de pseudo-vierge effarouchée, hein… allez vendre la cendre… ce qui est dans les habitudes d’icelle.
Formule de politesse : allez batt’ carré !???
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