En application de la loi de mai 1996, le SDIS de la Réunion est actuellement financé au 3/4 par le Département, à qui revient la responsabilité de financer les moyens (salaires, matériels, etc…). Par contre, ce n’est pas lui qui décide de l’opérationnel, qui est de la responsabilité du préfet et des maires.
Forte de ce constat, Nassimah Dindar, en accord avec d’autres présidents de conseils départementaux de métropole, serait favorable à un transfert de la totalité du SDIS, financement et opérationnel, à l’Etat.
Les choses seraient ainsi simplifiées et les responsabilités clarifiées.
« Aujourd’hui, explique-t-elle, nous payons mais ce n’est pas nous qui décidons« .