L’élection de Mohamed Rochdi face à Michel Boyer à la présidence de l’université en juin 2008 n’avait été possible que grâce au fort soutien que lui avait apporté le président de la Région, ses services et ses relais. Depuis, Mohamed Rochdi avait su prouver à de multiples reprises sa reconnaissance à Paul Vergès, notamment à travers l’embauche de quelques personnalités et dans des choix stratégiques allant dans le sens des desiderata du président de la Région.
L’arrivée de Didier Robert à la tête de la Pyramide inversée risque fort de chambouler cette belle harmonie. La météo pourrait même tourner à la tempête car nombre de dossiers épineux pourraient venir ou revenir sur le tapis. Le dernier en date, et pas le moindre, étant celui de la mastérisation de la formation des maitres dont le chef de projet, Jean-Paul Morillon, vient de démissionner pour marquer sa désapprobation avec la politique du président Rochdi, et celui du devenir des Sciences de l’Education dont le responsable, Michel Latchoumanin, vient également de rendre son tablier.
Il n’y a pas qu’à la Région que certains ont du souci à se faire…