FAITS DIVERS
C’est une information du Jir, un couteau a été retrouvé caché dans les toilettes du tribunal de Champ-Fleuri. Deux couteaux ont été découverts, dimanche, par les policiers. Le premier avait été oublié par mégarde par un employé mais le second était volontairement caché. Le procureur de la République a décidé d’ouvrir une enquête afin de déterminer quand et comment ce couteau est arrivé là.
L’information est reprise par les deux journaux. Huit planteurs sont depuis hier matin en garde à vue à Malartic. Ils sont soupçonnés d’avoir participé à la fraude au taux de richesse de la canne à sucre. Les huit agriculteurs sont suspectés d’avoir versé des pots-de-vin pour truquer le taux de leurs cannes. Les sommes versées atteindraient les 120.000 euros par campagne sucrière.
ÉCONOMIE
« Amélioration en journée, délestages en soirée« , titre le Jir. Le mouvement de grève dans les centrales thermiques de la Séchilienne-Sidec se poursuit et les délestages aussi. La direction de la société privée a indiqué que des renforts venant de métropole seront mobilisés pour redémarrer la production d’électricité sur l’île. 40.000 foyers étaient encore concernés par les coupures de courant hier.
« Énergie : le conflit en dix question« , titre de son côté le Quotidien. Le journal propose de faire le point sur les grèves à la Séchilienne-Sidec et à EDF. « Où en sont les grèves ?« , « Quels sont les risques de coupures dans les prochains jours ?« , « Quel est le préjudice pour les industriels ?« . Le journal apporte des éléments de réponse à ces questions.
« Une nouvelle hausse menace« , titre le Quotidien. « L’essence au plus haut, la fiscalité dans le débat« , titre quant à lui le Jir. C’est maintenant officiel : les carburants augmenteront de 5 centimes ce vendredi. L’annonce a été faite en préfecture hier. Le super atteindra un nouveau record historique. La fiscalité régionale, l’octroi de mer, serait la seule marge de manœuvre pour pallier les hausses. En effet, lorsque le pétrole augmente, l’octroi de mer augmente aussi. Mais ce débat ne semble pas encore être à l’ordre du jour.
SOCIÉTÉ
« Le doute s’épaissit autour de l’affaire des embruns« , titre le Jir. « Les embruns hors de cause« , annonce de son côté le Quotidien. Les embruns marins, soupçonnés d’être à l’origine de la pollution de l’air sur le front de mer de Saint-Pierre, ont partiellement été mis hors de cause. Selon les dernières analyses, les embruns ne peuvent expliquer à eux seuls la présence excessive des particules fines relevées en 2010. De nouveaux tests seront réalisés.