FAITS DIVERS
Les deux journaux s’intéressent à la première session d’assises de l’année. Une session qui s’est ouverte avec une affaire de viol. Un homme de 70 ans, ancien professeur de philosophie, se retrouve dans le box des accusés pour des faits d’agressions sexuelles et de viols commis sur ses filles alors qu’elles n’étaient âgées que de 4 à 5 ans. L’accusé a reconnu certains faits sur l’une de ses filles mais pas sur la seconde. Le verdict devrait être connu en milieu d’après-midi.
Autre information que l’on retrouve dans le Jir et le Quotidien : une mère et son fils, originaires de Bordeaux et âgés respectivement de 66 et 42 ans, sont suspectés d’avoir escroqué particuliers, concessionnaire, organisme de crédit ou encore agences immobilières. Des arnaques q’u’ils auraient mis en place pendant les deux années qu’ils ont passé à La Réunion. Ils seront jugés le 15 mars prochain et restent pour le moment en détention.
ÉCONOMIE
« Liste Lurel : 10 jours pour se caler sur les prix« , titre le Jir. « On négocie tous les deux jours« , titre le Quotidien. Les 108 produits de la liste Lurel ont été validés hier par l’ensemble des partenaires aux négociations. La négociation autour du bouclier qualité-prix entre dans le vif du sujet demain et vendredi. Chaque filière a jusqu’à demain pour rendre ses premières propositions de prix à la préfecture.
« Gonthier rend hommage à ses pères« , titre le Quotidien. « Minatchy installe Gonthier à la tête de la chambre verte« , titre de son côté le Jir. Hier, Jean-Yves Minatchy a officiellement passé le relai à Jean-Bernard Gonthier. Le nouveau président de la CGPER a rendu hommage à son prédécesseur mais également à son père avant d’évoquer les priorités de sa mandature.
SOCIÉTÉ
Le Jir s’intéresse aux droits des pères séparés. »10% des pères divorcés en souffrance à La Réunion« , titre le journal. Alors que depuis vendredi, à Nantes, un homme occupe le haut d’une grue pour réclamer un droit de visite pour son fils qu’il n’a pas vu depuis deux ans, la question des droits des pères séparés revient sur le devant de la scène. A la Réunion, le phénomène reste minoritaire au sein des divorcés, malgré son importance humanitaire.