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Madagascar : Un homme viole sa cousine de 7 ans et l’enterre vivante

La commune d’Antsahadinta est sous le choc. Comme rapporté par l’Express de Madagascar, une petite fille de 7 ans a été violée et ensuite enterrée vivante par son cousin âgé de 30 ans, dimanche après-midi dans le quartier de Mandalova. Le corps de la victime a été découvert dimanche aux alentours de 16 heures par les membres […]

Ecrit par . – le mercredi 29 octobre 2014 à 17H28

La commune d’Antsahadinta est sous le choc. Comme rapporté par l’Express de Madagascar, une petite fille de 7 ans a été violée et ensuite enterrée vivante par son cousin âgé de 30 ans, dimanche après-midi dans le quartier de Mandalova.

Le corps de la victime a été découvert dimanche aux alentours de 16 heures par les membres de la famille au domicile du présumé violeur. Le criminel aurait tout d’abord attiré deux petites filles dans sa maison, avant de dire à l’une d’entre elles de quitter son domicile.

Selon l’Express, deux habitants du quartier ont tenté de la libérer mais le présumé criminel aurait barricadé sa maison avec des rondins de bois, avant de commettre son méfait.

Après avoir violé sa victime, « il l’aurait par la suite étranglée, pour qu’elle ne puisse pas appeler les secours », avant de creuser un trou de 1,5m pour y cacher le corps.  

Selon un témoin oculaire de ce crime sordide, Justine Rasoamanahirana, « la petite ne se trouvait que dans le coma avant qu’il l’ait enterrée. Il ne l’a étranglée que quelques minutes. Je suis restée toujours devant sa porte pour le supplier d’ouvrir sa maison. La petite serait morte étouffée dans ce trou à rat ».

Quand les renforts sont arrivés sur place, ils n’ont rien vu de suspect. Mais l’un d’entre eux va découvrir le corps de la petite fille caché dans le trou. « Après cette découverte macabre, le suspect a fui et tenté de se cacher dans une porcherie à quelques kilomètres du fokontany (quartier, ndlr) de Mandalova », poursuit l’Express.

Le suspect ne doit son salut qu’à un chef de quartier et à des sages de quartier qui l’ont sauvé de la vindicte populaire. Il a été remis entre les mains de la brigade de la Gendarmerie de Fenoarivo, mais cela n’a pas été suffisant pour calmer la colère des habitants de Mandalova.

Ces derniers ont réclamé vengeance pour le crime commis et ont ont également brûlé la maison de l’homme arrêté

 

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