Le mouvement a commencé par la grève des taxis, des greffiers, des agents pénitentiaires et les revendications des syndicalistes d’Air Madagascar, et se poursuit désormais par une grogne de la population de certains quartiers, excédée par des coupures d’eau et d’électricité.
Les habitants, qui estiment que l’électricité est une question de sécurité, sont descendus dans la rue pour manifester leur mécontentement. C’est la cinquième fois en moins d’un mois que la population tananarivienne sort crier sa colère contre le délestage, indique encore RFI Afrique, précisant que le nouvel exécutif persiste à durcir ses mesures pour réfréner tout type de manifestations.