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Les motards toujours en colère !

Depuis les mesures prises en matière de sécurité routière par le gouvernement (ndlr : le 11 mai 2011) les motards sont en colère. Après un grand rassemblement dans toute la France, le 18 juin dernier ([Lire ici]url:http://www.zinfos974.com/Un-millier-de-motards-en-colere-_a29699.html ), ils se sont réunis une nouvelle fois à Saint-Denis pour protester contre les mesures qu’ils jugent « i[inefficaces]i » […]

Ecrit par zinfos974 – le samedi 10 septembre 2011 à 10H50


Depuis les mesures prises en matière de sécurité routière par le gouvernement (ndlr : le 11 mai 2011) les motards sont en colère. Après un grand rassemblement dans toute la France, le 18 juin dernier ([Lire ici]url:http://www.zinfos974.com/Un-millier-de-motards-en-colere-_a29699.html ), ils se sont réunis une nouvelle fois à Saint-Denis pour protester contre les mesures qu’ils jugent « i[inefficaces]i » et « i[répressives]i ».

« i[On manifeste toujours pour les mêmes motifs à savoir les gilets jaunes, les grandes plaques d’immatriculation, les retours en formation après cinq ans sans avoir conduit une moto et aussi toute la cacophonie autour des radars]i » proteste Gilles Ecormier, président de la FFMC (Fédération des motards en colère) 974.

En juin dernier, une délégation de motards avait déposé une motion à la préfecture de Saint-Denis. Une motion déposée à la Réunion mais également dans toutes les préfectures de France par chacune des délégations de la FFMC. « i[Ce que l’on a remis au préfet a été remonté au plus haut sommet de l’Etat. Maintenant le gouvernement fait toujours la sourde oreille, même s’il a fait quelques retours en arrière sur les radars]i », explique-t-il.

Devant la « fronde » des automobilistes et des motards face à cette mesure non populaire, les panneaux de radars enlevés ont fait place à des radars pédagogiques censés prévenir l’automobiliste ou le motard de sa vitesse. Mais ce n’est pas suffisamment pour la FFMC qui exige plus de la part du gouvernement. « i[Il (ndlr : le gouvernement) n’a pas vraiment renoncé aux mesures et c’est pour cela que nous sommes mobilisés une nouvelle fois dans toute la France aujourd’hui]i », conclut Gilles Ecormier.

 

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