Le ministre centrafricain de la Justice, Aristide Sokambi, a indiqué hier que les militaires français soupçonnés de viols d’enfants dans son pays seront « poursuivis ».
« C’est quand même des actes très graves. […] J’insiste sur le fait qu’il ne faut pas d’amalgame, ce n’est pas “Sangaris”, ce n’est pas la France. C’est des individus, c’est des militaires et c’est contre ceux-là que nous nous insurgeons », a-t-il déclaré.
Pour rappel, 14 militaires français sont mis en cause dans cette affaire qui risque d’écorner l’image de la France en Afrique.
Une enquête a été ouverte fin juillet 2014 en France a indiqué fin avril le ministère de la Justice français.