Revenir à la rubrique : Social

Les employés de l’ADEP en colère

Ils sont sur leur lieu de travail mais tapent aujourd’hui du poing sur la table face à "une direction qui n’est même pas capable de venir à la rencontre de ses salariés". Les employés de l’ADEP veulent obtenir des réponses quant à leur devenir.

Ecrit par Melanie Roddier – le mercredi 29 octobre 2008 à 10H03

La tension monte depuis quelques jours au sein de l’ADEP (Association dionysienne d’éducation populaire). Les employés ont demandé à plusieurs reprises de rencontrer la direction afin de discuter de l’avenir des salariés de l’ADEP. Association subventionnée à plus de 90% par la ville de Saint-Denis. Face à une absence totale d’intérêt de la direction, expliquent les employés, aujourd’hui le ton monte dans les bureaux. « Il est tout à fait normal que l’inquiétude grandisse. On veut des réponses et des explications sur l’état de santé de l’ADEP. On demande juste de rencontrer l’employeur et il n’arrive pas à venir voir ses salariés. Il est impossible de travailler dans ces conditions« , Raymond Berianayagom, animateur social à l’ADEP. L’ADEP emploie 40 personnes au total.

 

Thèmes :
Message fin article

Avez-vous aimé cet article ?

Partagez-le sans tarder sur les réseaux sociaux, abonnez-vous à notre Newsletter,
et restez à l'affût de nos dernières actualités en nous suivant sur Google Actualités.

Pour accéder à nos articles en continu, voici notre flux RSS : https://www.zinfos974.com/feed
Une meilleure expérience de lecture !
nous suggérons l'utilisation de Feedly.

S’abonner
Notification pour
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires

Dans la même rubrique

Les journalistes du Quotidien campent devant le tribunal

Une vingtaine de journalistes du Quotidien de La Réunion se sont installés devant le tribunal judiciaire de Saint-Denis. Une décision est attendue ce mercredi sur le sort du média placé en liquidation judiciaire depuis le 4 octobre.

Débrayage des préparateurs en pharmacie au CHOR

Une vingtaine de préparateurs en pharmacie hospitalière ont manifesté leur colère ce jeudi et ont pris part au mouvement de grogne nationale. Ils demandent notamment une révision des échelons et l’officialisation du diplôme d’État.

L’avenir du Quotidien de La Réunion entre les mains du tribunal de commerce

Alfred Chane-Pane et Henri Nijdam ont défendu leur projet respectif de reprise du Quotidien, mercredi après-midi à la barre du tribunal de commerce de Saint-Denis. Le premier a fait valoir le fait qu’il détenait une imprimerie ultra-moderne, tandis que le second a rehaussé son compte courant d’associés à 1,5 million d’euros. Le délibéré interviendra le 3 avril.