Revenir à la rubrique : Océan Indien

Le nouveau président malgache, Hery Rajaonarimampianina, investi samedi à Tananarive

Le nouveau et premier Président de la Quatrième République de Madagascar, Hery Rajaonarimampianina, âgé de 55 ans, sera investi samedi 25 janvier 2014 au stade Mahamasina de Tananarive pour cinq années de mandat. Hery Rajaonarimampianina prendra officiellement ses fonctions, et ce, après la passation de pouvoir avec Andry Rajoelina qui devrait se dérouler la veille. […]

Ecrit par . – le mercredi 22 janvier 2014 à 10H37

Le nouveau et premier Président de la Quatrième République de Madagascar, Hery Rajaonarimampianina, âgé de 55 ans, sera investi samedi 25 janvier 2014 au stade Mahamasina de Tananarive pour cinq années de mandat.

Hery Rajaonarimampianina prendra officiellement ses fonctions, et ce, après la passation de pouvoir avec Andry Rajoelina qui devrait se dérouler la veille.

Plusieurs coups de canons d’artillerie, comme le veut la tradition, seront tirés pour célébrer le nouveau président élu.

Le nouveau chef d’État de la Grande île prononcera également devant la nation malgache son premier discours présidentiel.

Avant cette cérémonie d’investiture, Hery Rajaonarimampianina, aura prêté serment* en malgache lors d’une audience tenue au sein de la Haute cour constitutionnelle malgache et s’engagera solennellement à se mettre au service de son pays devant la Nation, et en présence du gouvernement, de l’Assemblée nationale, du Sénat et de la Cour Suprême.

Il recevra ensuite les honneurs militaires, comme le rapporte le journal Midi Madagasikara.

* Texte du serment présidentiel : « Devant le Dieu créateur et la Nation ainsi que le peuple, je jure d’accomplir pleinement et entièrement, mais aussi d’une manière juste, mes hautes responsabilités de Président de la Nation malagasy. Je jure d’utiliser les pouvoirs à moi conférés et de consacrer toutes mes forces pour défendre et raffermir l’unité nationale et les droits de l’Homme. Je jure de respecter et d’y veiller comme à la prunelle de mes yeux, la Constitution et les lois de l’Etat, d’œuvrer sans relâche au bien-être du peuple malagasy sans exception »

 

Thèmes :
Message fin article

Avez-vous aimé cet article ?

Partagez-le sans tarder sur les réseaux sociaux, abonnez-vous à notre Newsletter,
et restez à l'affût de nos dernières actualités en nous suivant sur Google Actualités.

Pour accéder à nos articles en continu, voici notre flux RSS : https://www.zinfos974.com/feed
Une meilleure expérience de lecture !
nous suggérons l'utilisation de Feedly.

S’abonner
Notification pour
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires

Dans la même rubrique

Les tests rapides de détection du choléra autorisés à Mayotte

Un arrêté du ministère de la santé en date du 19 mars autorise désormais l’utilisation de tests rapides d’orientation diagnostique du choléra à Mayotte. Ces tests rapides ne pourront être réalisés qu’avec le consentement des personnes ciblées. L’archipel de Mayotte est en émoi depuis l’annonce mardi d’un premier cas de choléra importé des Comores.

COI : Atelier de consultation sur la sécurité portuaire à Madagascar

La Commission de l’océan Indien a organisé une consultation nationale sur la sécurité portuaire et la sûreté de la navigation à Madagascar. Accueillie par le ministère des Affaires étrangères, cette consultation a notamment permis de définir des mesures concrètes afin d’améliorer la surveillance maritime et renforcer la collaboration entre les pays de la région. En présence de six ministres, les équipes de la COI ont pu instaurer une compréhension complète des progrès et des défis dans la mise en œuvre des activités du PSP.

« Il faut peut-être en tuer » : Le vice-président du Département de Mayotte condamné à 3 mois de prison avec sursis

Salime Mdéré était jugé pour avoir déclaré en direct sur une chaîne de télévision publique mahoraise « Il faut peut-être en tuer » au sujet des délinquants qui affrontaient la police lors de l’opération Wuambushu. Trois mois de prison avec sursis et 5.000 euros d’amende avaient été requis. Le tribunal a décidé d’aller au-delà des réquisitions et le condamner à trois mois de prison et 10.000 euros d’amende pour provocation publique.