Sa détresse affichée ne lui aura pas épargné la prison. Hier, la Cour d’appel a renvoyé derrière les barreaux Mohamed Rangila.
Le commerçant de la rue Maréchal Leclerc avait été condamné en première instance, le 22 novembre dernier, pour abus sexuel sur une jeune fille à la recherche d’un contrat d’apprentissage ([lire ici]url:http://www.zinfos974.com/Travail-chantage-et-sexe-Un-commercant-dionysien-sous-les-verrous_a34476.html ). Il avait fait appel de la décision.
L’homme de 54 ans prétendait avoir eu une relation consentie avec la plaignante. Une nouvelle fois, lors de son jugement en appel, il a tenté de minimiser ses actes, et prétendu que son séjour en prison l’avait fait réfléchir.
La Cour d’appel a maintenu sa peine de prison ferme, qui passe toutefois de trois à deux ans, son suivi socio-judiciaire de cinq ans et son interdiction d’exercer.