Si le Maloya est reconnu au patrimoine immatériel de l’UNESCO, La Réunion n’avait pas, selon l’espace philosophique appelé Laklarté, de genre musical. Sa musique était reconnue dans la catégorie world musique ou au mieux dans la catégorie fourre-tout de la variété française.
Laklarté a donc demandé l’officialisation du genre musical réunionnais à la SACEM (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique). « C’est en toute connaissance des éléments fournis dans la demande et la nécessité pour la musique du pays, que le président de la SACEM, Jean-Claude Petit, a validé et diligenté auprès de services de la Sacem, l’officialisation du genre musical réunionnais : le Ségamaloya », indique le « Kolectif Laklarté ».
Les artistes réunionnais et ceux qui affectionnent et partagent la musique réunionnaise Ségamaloya, pourront désormais enregistrer leur œuvre dans la catégorie Ségamaloya.
Le courrier du collectif à la SACEM :
La réponse de la SACEM :