LBSJS 100- Voyage en grande fortune
Rendez-vous à « LA CASA NOSTRA », Mardi 8 Juillet 2014, de 18h à 20h30, 163 Rue Jules Auber (entre rue Général de Gaulle et Rue Monseigneur de Beaumont) Tel 0262 200944. Repas partagé pour ceux qui veulent continuer à échanger
Ecrit par JMT97400 – le jeudi 03 juillet 2014 à 16H34
Leur vie fait rêver. Ils sont riches et n’ont plus besoin de travailler pour subvenir à leurs besoins. Si l’argent ne fait pas le bonheur, il fait du moins le leur.
C’est le cas de Paul Dubrule. A 79 ans, ce papy dandy prend un infini plaisir à tirer sur son cigare cubain. Il aime clamer à qui veut l’entendre qu’il est à la retraite, même s’il continue à présider le conseil de surveillance du groupe hôtelier Accor, dont il est le cofondateur.
Il ne s’en cache pas : Paul Dubrule aime tout ce qui est mécanique (les montres, les vélos, les voitures), le bon vin et qu’on lui « cire les pompes ».
Depuis quelques années, cet ancien sénateur et maire UMP de Fontainebleau (Seine-et-Marne) est résident suisse.
Il a trouvé refuge à Genève pour fuir la fiscalité française. Avec honnêteté et une pointe de cynisme, l’homme d’affaires raconte, dans le long documentaire « Au bonheur des riches », pourquoi ce choix de l’exil.
La faute de la France, devenue un pays « insupportable », dont il vaut mieux « divorcer » plutôt que de la supporter. Il dit avoir largement contribué à la richesse nationale et payé un « paquet d’impôts » : son groupe n’emploie-t-il pas, après tout, 160 000 personnes à travers le monde, dont la moitié en France ?
« Sans les riches, une nation n’existe pas vraiment », lance Paul Dubrule. D’ailleurs, qui sont vraiment « les riches » ? Que sait-on vraiment d’eux ?
RAPPORT À L’ARGENT
Le film d’Antoine Roux dresse le portrait de quatre millionnaires qui ont accepté d’être suivis par les caméras. Pas question, cependant, de les accompagner dans leur quotidien ni de les voir sur un jet ou dans une fête à Saint- Tropez à bord d’un yacht, entourés de mannequins.
Ce document tente plutôt de décrypter leur condition d’hommes riches, ce qui fait leur singularité, définit leur rapport à l’argent, à l’Etat, aux gens ordinaires, et la manière dont ils cultivent leur réseau.
La suite sur le site AID: http://aid97400.lautre.net/spip.php?article1323