A entendre Johanne qui a eu son bac littéraire en 2006 avec mention très bien, le bac, « c’est l’événement qui met un terme à une vie scolaire ». Même si la jeune fille, aujourd’hui reçue en deuxième année de Master information et communication, pense que le bac « n’est pas une fin en soi », elle considère que l’obtenir avec une mention aide à être choisi en priorité dans les grandes écoles ou dans une formation où les places sont chères. « Je me rappelle lors de mon entretien d’entrée en licence qu’ils m’ont demandé si j’avais eu une mention », se souvient la jeune fille.
Sans le bac, Johanne pense qu’elle serait quand même arrivée au niveau Master. « On peut aller à la faculté sans le bac avec une remise à niveau ». D’ailleurs, la jeune saint-louisienne aurait aimé que l’idée du contrôle continu en fac soit mis en place, « pour éviter que certains viennent sur les bancs pour chahuter et faire acte de présence en perturbant le cour, seulement pour percevoir la bourse ».
