« Palais de justice : la poudre suspecte frappe encore ». Le Quotidien relaye le sentiment général de lassitude devant ces alertes en série suite à la découverte de colis et/ou d’enveloppes contenant de la poudre. Le procédé semble amuser son ou ses auteurs qui met en branle – mesure de précaution oblige – à chaque fois, toute une armée de secouristes spécialisés dans le risque chimique.
Ce mercredi a été marqué par un fait divers de plus sur la route. Un jeune homme de 20 ans a laissé sa vie sur la route de Bourg Murat à la Plaine des Cafres. Les indices et témoignages laissent à penser qu’une perte de contrôle sur une chaussée glissante est à l’origine de la collision fatale. Les occupants du fourgon contre lequel le véhicule du jeune homme est allé percuter avant de finir sa route dans le décor, s’en sortent indemnes.
« Malversations aux goonies : la ville partie civile ». Le Journal de l’Ile, comme l’ensemble de la presse, a été informée hier par la mairie de Saint-Paul que cette dernière comptait réclamer des comptes à l’ancienne présidente de la structure spécialisée dans le périscolaire. L’ancienne dirigeante devra répondre en juillet prochain de détournement de fonds. Et pour la bagatelle de 200.000 euros.
L’entreprise de BTP Recobat de nouveau dans le dur. A peine sortie d’un plan de redressement il y a un an, l’entreprise spécialisée dans le gros oeuvre et la maçonnerie n’a que partiellement honoré les salaires de ses employés le mois dernier. Depuis lundi, ils sont en grève pour marquer leur mécontentement. Ils attendent du tribunal de commerce, devant lequel l’entreprise se présente le 16 mars, soit vigilant. A lire dans le Jir.
Ça coince lors des négociations obligatoires annuelles. Patronat du BTP et intersyndicale n’optent pas pour la même lecture de la situation dans le secteur. Capeb et FRBTP excluent pour l’heure toute revalorisation des salaires cette année. Autre son de cloche côté syndical : « la crise sert de prétexte depuis 4 ans ». CGTR, CFDT et CFTC attendent d’avoir accès aux documents retraçant les aides fiscales et exonérations auxquelles les entreprises ont eu droit pour se faire une idée plus précise du contexte « de crise »…