Les députés ont blackboulé une nouvelle fois lundi soir, par 35 voix contre 26, l’instauration d’une « assistance médicalisée active à mourir », qui était présentée par certains socialistes et des radicaux de gauche.
Ainsi lors de la deuxième lecture de la proposition de loi sur la fin de vie, les députés n’ont pas également été favorables à l’amendement de l’écologiste Véronique Massonneau qui préconisait « une assistance médicale au suicide ».
L’Assemblée nationale a néanmoins donné son accord lundi sur le « droit à la sédation profonde et continue » jusqu’au dernier souffle pour les patients incurables et dont le pronostic est manifestement engagé sur une très courte période.