Dix mois après, ce 11 février 2016, la même Emmanuelle Cosse entre au gouvernement de Manuel Valls. Et elle se fend d’un message Twitter aussi servile qu’hypocrite : « La confiance du président de la République m’honore. Heureuse de poursuivre au gouvernement mon engagement pour une écologie en action ».
Y a –t-il quelque chose à ajouter à tant de noirceur d’âme ? Oui. Ceci : Mme Cosse est une partisane acharnée du démantèlement de la France, par la politique des euro-régions. C’est ce que tout le monde peut constater dans cet extrait de débat télévisé : https://www.youtube.com/watch?v=2iLqLkxho9M
———————– CONCLUSION ———————–
Emmanuelle Cosse est la secrétaire nationale d’EELV, un parti politique dont les scores électoraux sont en chute libre, qui est financièrement en faillite, et qui compte 2 fois moins d’adhérents que l’UPR.
Par ailleurs, elle milite ouvertement pour le démantèlement de la France. Si la France était un véritable pays de droit, les déclarations de Mme Cosse devraient conduire à la dissolution de EELV pour inconstitutionnalité en vertu de l’article 4 de notre Constitution qui pose : « Les partis et groupements politiques […] doivent respecter les principes de la souveraineté nationale et de la démocratie ».
Le fait que Mme Cosse, qui injuriait François Hollande et Manuel Valls il y a 10 mois, vienne d’entrer au gouvernement de la République est une pantalonnade qui témoigne de l’atmosphère de fin de règne qui empuantit la France. Cette nomination déshonorante révèle à quel point le président de la République et son Premier ministre ont désormais du mal à trouver des responsables politiques qui acceptent d’entrer au gouvernement de ce Titanic qu’est devenue la France.
François Asselineau – Union Populaire Républicaine