Revenir à la rubrique : Faits divers

Fin de garde à vue pour les deux compagnons de randonnée du gendarme disparu au Maïdo

Les deux personnes qui effectuaient une randonnée en compagnie de Mathieu Caizergues, le 23 juin dernier au Maïdo, et qui étaient [en garde à vue depuis hier matin]urlblank:http://www.zinfos974.com/Les-deux-compagnons-de-randonnee-du-gendarme-disparu-a-Mafate-places-en-garde-a-vue_a117095.html , ont été relâchés ce jeudi soir. Les deux hommes, un gendarme de la compagnie de Saint-Paul et le compagnon d’une femme gendarme elle aussi affectée dans […]

Ecrit par zinfos974 – le jeudi 27 juillet 2017 à 23H54

Les deux personnes qui effectuaient une randonnée en compagnie de Mathieu Caizergues, le 23 juin dernier au Maïdo, et qui étaient [en garde à vue depuis hier matin]urlblank:http://www.zinfos974.com/Les-deux-compagnons-de-randonnee-du-gendarme-disparu-a-Mafate-places-en-garde-a-vue_a117095.html , ont été relâchés ce jeudi soir.

Les deux hommes, un gendarme de la compagnie de Saint-Paul et le compagnon d’une femme gendarme elle aussi affectée dans l’ouest, sont suspectés de non-assistance à personne en danger.

Malgré des recherches intensives ayant mobilisé d’importants moyens tant humains que matériels (drones, hélicoptère, chien renifleur spécialement acheminé de métropole…), Mathieu Caizergues est resté introuvable.

La garde à vue avait pour objectif d’obtenir des éclaircissements sur différents éléments qui pouvaient interroger. Et notamment les raisons pour lesquelles les deux hommes, qui encadraient Mathieu Caizergues à quelques centaines de mètres de distance, ont attendu plusieurs heures pour prévenir les autorités de sa disparition. Ils ont mis en avant une panne de téléphone consécutive à des batteries totalement déchargées. Les enquêteurs ont souhaité vérifier cette explication ainsi que quelques autres points du dossier.

Une information judiciaire devrait être ouverte pour « non-assistance à personne en danger« .

 

Thèmes :
Message fin article

Avez-vous aimé cet article ?

Partagez-le sans tarder sur les réseaux sociaux, abonnez-vous à notre Newsletter,
et restez à l'affût de nos dernières actualités en nous suivant sur Google Actualités.

Pour accéder à nos articles en continu, voici notre flux RSS : https://www.zinfos974.com/feed
Une meilleure expérience de lecture !
nous suggérons l'utilisation de Feedly.

S’abonner
Notification pour
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires

Dans la même rubrique

Soupçons d’emplois illégaux à la Région : « La fin ne saurait justifier les moyens »

La procureure de la République Véronique Denizot a demandé la condamnation des 11 prévenus de l’affaire des emplois présumés illégaux de la Région, ce jeudi lors de la quatrième journée du procès, une peine de 5 ans d’inéligibilité étant notamment requise pour l’ancien président Didier Robert, visé pour prise illégale d’intérêts et détournement de fonds . L’actuelle mandature de la Région, partie civile du procès, a demandé un préjudice à hauteur de 1,5 million correspondant à la somme des salaires versés aux huit conseillers techniques poursuivis pour recel.

Soupçons d’emplois illégaux à la Région : « Nous étions des facilitateurs »

Au troisième jour du procès sur les emplois présumés fictifs à la Région sous les mandats de Didier Robert, six prévenus ont témoigné, affirmant leur engagement et leur innocence. Yves Ferrières, Sabrina Ramin, Yannick Gironcel, Jean-Charles Maroudé, Ravy Vellayoudom, et Yoland Velleyen ont décrit leurs rôles sans pour certains fournir cependant des détails concrets sur leurs missions. Le procès continue aujourd’hui avec les dépositions attendues de Vincent Bègue et Didier Robert et les réquisitions du parquet qui permettront sans doute d’en savoir plus sur ce qu’a révélé l’enquête menée par les policiers parisiens.

Un incendie se déclare dans un immeuble SIDR à Saint-Denis

Ce mercredi peu avant 19 heures, un appartement situé au 1er étage de la résidence SIDR Camp Jacquot situé à l’angle de la rue Camp Jacquot et général de Gaulle à Saint-Denis a pris feu. Les sapeurs pompiers ont déployé la grande échelle pour accéder à l’appartement en proie aux flammes. Fort heureusement, il n’y a pas de blessés à déplorer. Par mesure de précaution, l’ensemble de l’immeuble a été évacué.

Viol d’une prostituée sur la voie publique : L’auteur présumé ne voulait pas payer

Gabriel*, mis en examen le 25 août 2022 pour un viol commis la veille sur une prostituée rencontrée via les réseaux sociaux, a donné des explications variables sur le non paiement de ses services. Il a été décrit par des experts comme ayant des difficultés relationnelles mais sans dangerosité criminelle. Malgré sa demande de libération, la chambre de l’instruction a maintenu sa détention, suivant l’avis du parquet général qui craint qu’il exerce des pressions sur la victime.