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Ermitage: Des avoirs pour les campeurs renvoyés à cause du cyclone

Le camping intercommunal de l’Ermitage rouvre partiellement ce mardi. « Les tentes safari ne seront opérationnelles que demain », prévient Corine Geneste, directrice du camping. La capacité d’accueil sera donc optimum dans 24h. La végétation naissante du camping a souffert des rafales de vent. Cinq arbres pliés, une clôture endommagée, Bejisa a signé son passage de son empreinte. […]

Ecrit par zinfos974 – le mardi 07 janvier 2014 à 09H51

Le camping intercommunal de l’Ermitage rouvre partiellement ce mardi. « Les tentes safari ne seront opérationnelles que demain », prévient Corine Geneste, directrice du camping. La capacité d’accueil sera donc optimum dans 24h. La végétation naissante du camping a souffert des rafales de vent. Cinq arbres pliés, une clôture endommagée, Bejisa a signé son passage de son empreinte.

Mercredi 1er janvier, alors que les fêtards se réveillaient à peine, ce sont 650 personnes qui ont dû plier bagages. Un bataillon auquel il faut rajouter « les visiteurs du 31 », c’est-à-dire les personnes qui ont pu camper exceptionnellement pour le réveillon, soit en tout « 700 personnes ». Le camping avait été contraint de fermer mercredi 1er janvier à 10h, « bien avant que l’alerte orange ne soit annoncée à 15h », explique Corinne Geneste. Un choix délibéré. Ce temps d’avance a permis aux employés de la structure de démonter les tentes avant le début de la soirée et les premières pluies.

Mettre autant de monde à la porte n’est pas chose aisée, avant tout financièrement dans le cas d’une régie dépendante du TCO. « Nous avons proposé une indemnisation des journées non effectuées sous forme d’avoirs réutilisables pour les prochaines vacances de juillet/août ». 91 bons ont été émis. « Les familles ont toutes bien compris la démarche », se félicite la directrice du camping. Pour les touristes, le camping a procédé à des remboursements, soit moins de dix au total.

Le camping inauguré en décembre 2012 n’est pas verni. L’année dernière, aux mêmes dates, les campeurs avaient été priés de rentrer chez eux à cause de Dumile. « C’est une procédure qu’on commence à maîtriser », en rigole Corinne Geneste qui aimerait tout de même déjouer le dicton du jamais deux sans trois, au moins pour cette année.

 

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