Les massacres d’animaux d’élevage se multiplient de façon alarmante ces derniers jours. Pour certains, comme cet éleveur de La Rivière, ce n’est pas la première fois. Son fils se demande s’il aura le courage de reprendre l’activité familiale comme telle avait été son intention : ils sont, en effet, ruinés.
Les autorités, comme toujours, se défilent honteusement. La mairie, les intercommunalités, la préfecture, les Conseils de clampins, tout se refilent la patate chaude.
Les éleveurs, voyant disparaître le fruit de leur boulot dans les gueules voraces, déclarent leur intention de se défendre eux-mêmes puisque personne de soi-disant responsable, ne fait rien pour eux.
CERTAINS ONT COMMENCE A LE FAIRE ET JE LES COMPRENDS.
Les sentimentaux défenseurs de ces pauvres petites bébêtes chéries montent au créneau comme chaque fois qu’ils n’ont rien d’autre à foutre.
Entre l’humain et l’animal, il faut choisir. Même si, au départ, la faute incombe bel et bien à ces salauds qui abandonnent les chiots en pleine nature. Remarquons que tous ces chiens ne sont pas perdus sans collier.
A Tananarive, fut une époque où l’on annonçait à la radio que l’armée procéderait à des abattages à vue telle nuit, de telle à telle heure, dans Isaotry, Andravoangy ou autre quartier de la capitale. Le danger, là-bas, était encore plus fort, avec la rage en plus. Fallait pas alors se trouver dans les rues.
La méthode a porté ses fruits. C’est pas con !