Des timbres « collector » pour des espèces uniques au monde
Le 6 octobre 2014, La Poste de La Réunion en collaboration avec Le Parc national de La Réunion émet un « collector » de 10 timbres sur le thème de la protection de la forêt semi sèche de La Grande Chaloupe. La Poste de La Réunion en partenariat avec l’Association Philatélique de l’Océan indien organise le 6 octobre […]
Ecrit par zinfos974 – le lundi 06 octobre 2014 à 15H47
Le 6 octobre 2014, La Poste de La Réunion en collaboration avec Le Parc national de La Réunion émet un « collector » de 10 timbres sur le thème de la protection de la forêt semi sèche de La Grande Chaloupe.
La Poste de La Réunion en partenariat avec l’Association Philatélique de l’Océan indien organise le 6 octobre une journée « premier jour » au bureau de poste de Saint-Benoît.
Rendez-vous au bureau de poste de Saint-Benoît pour découvrir les souvenirs philatéliques lié à cette émission.
Tiré à 15 000 d’exemplaires, le « collector » sera disponible dès cette date dans l’ensemble des bureaux de poste de l’île.
Des espèces uniques au monde
La forêt semi-sèche de La Réunion est un écosystème unique au monde, gravement menacé.
Autrefois présente sur l’ensemble de la côte ouest de l’île, elle ne survit désormais que sous forme de reliques de petite taille, localisées dans des zones peu accessibles à l’homme. Les vestiges les mieux préservés se situent au nord de l’île dans les remparts du massif de la Montagne, non loin du village de la
Grande Chaloupe. C’est ce site qui a été ciblé pour le projet européen Life+Nature et Biodiversité porté par le Parc national de La Réunion avec le soutien du
Conservatoire du Littoral, la Région et le Département.
Les grands objectifs de ce programme :
· Connaître pour prendre les bonnes décisions au travers d’un état des lieux sur le terrain
· Agir pour freiner la disparition de la forêt semi-sèche avec des récoltes en milieux naturels de semenciers, une production puis une plantation de 100 000 plants d’espèces indigènes et endémiques, une lutte contre les espèces exotiques envahissantes
· Développer une démarche collective pour préserver durablement grâce aux travaux collectifs des acteurs de l’environnement et des partenaires locaux
· Fédérer la population au travers d’actions participatives